Difference between revisions of "Grève du textile de Lawrence"

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[[Joseph Ettor]], un des ''wobblie'' qui avait fait de l'organisation à Lawrence quelques fois avant la grève, et [[Arturo Giovannitti]], également de l'[[IWW]], assumèrent rapidement des postes d'organisateurs importants dans la grève, en formant un comité de grève contenant deux représentant(e)s de chaque groupe ethnique dans les usines, qui prendrai la responsabilité de tous les décisions importantes. Le comité, qui disposa ses réunions de grève à être traduits en 25 différentes langues, mit de l'avant un ensemble de demandes; une augmentation salariale de 15% pour une semaine de travail de 54 heures, le salaire double pour le surtemps, et aucune discrimination envers les travailleuses/eurs pour leur activités de grêviste.
 
[[Joseph Ettor]], un des ''wobblie'' qui avait fait de l'organisation à Lawrence quelques fois avant la grève, et [[Arturo Giovannitti]], également de l'[[IWW]], assumèrent rapidement des postes d'organisateurs importants dans la grève, en formant un comité de grève contenant deux représentant(e)s de chaque groupe ethnique dans les usines, qui prendrai la responsabilité de tous les décisions importantes. Le comité, qui disposa ses réunions de grève à être traduits en 25 différentes langues, mit de l'avant un ensemble de demandes; une augmentation salariale de 15% pour une semaine de travail de 54 heures, le salaire double pour le surtemps, et aucune discrimination envers les travailleuses/eurs pour leur activités de grêviste.
  
La Ville réponda à la grève en faisant sonner les cloches d'alarme de la ville pour la première fois dans son histoire; le maire ordonna à une compagnie de la milice locale de patrouiller les rues. Les grèvistes répondirent avec un piquetage de masse. Quand les proprios d'usines ouvrèrent les boiyaux d'incendie sur les grèvistes rassemblé(e)s au devant des usines, les travailleuses/eurs lancèrent de la glace sur les usines, cassant du coup plusieurs fenêtres. La cour sentença 36 travailleuses/eurs à un an de prison pour avoir lancé de la glace. Le juge ajouta: "La seule façon que l'on peut leur apprendre est de leur déserver les sentences les plus sévères". Le gouverneur commanda par la suite l'arrivée de la milice et de la police d'état. Des arrestations de masse suivirent.
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La Ville répondit à la grève en faisant sonner les cloches d'alarme de la ville pour la première fois dans son histoire; le maire ordonna à une compagnie de la milice locale de patrouiller les rues. Les grèvistes répondirent avec un piquetage de masse. Quand les proprios d'usines ouvrèrent les boiyaux d'incendie sur les grèvistes rassemblé(e)s au devant des usines, les travailleuses/eurs lancèrent de la glace sur les usines, cassant du coup plusieurs fenêtres. La cour sentença 36 travailleuses/eurs à un an de prison pour avoir lancé de la glace. Le juge ajouta: "La seule façon que l'on peut leur apprendre est de leur déserver les sentences les plus sévères". Le gouverneur commanda par la suite l'arrivée de la milice et de la police d'état. Des arrestations de masse suivirent.
  
At the same time the United Textile Workers attempted to break the strike, claiming to speak for the workers of Lawrence. _Les travailleuses/eurs les ignorèrent et l'AFL, bien qu'opposée à l'IWW, ne fit pas plus de pression sur le point et, offrit son support rhétorique pour les droits des grèvistes.
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Au même moment, le syndicat des ''United Textile Workers'' tenta de briser la grève, se réclamant voix des travailleurs/euses de Lawrence. Les travailleuses/eurs les ignorèrent et l'AFL, bien qu'opposée à l'IWW, ne fit pas plus de pression sur le point et, offrit son support rhétorique pour les droits des grèvistes.
  
 
Un entrepreneur local et membre du comité de l'école de Lawrence essaya de disloquer la tête de la grève et de faire arrêter Ettor et Giovannitti en posant de la dynamite dans plusieurs endroits de la ville, une semaine après le début de la grève. Il reçut une amende de 500$ et fut libéré sans temps de prison. William Wood, le propriétaire de la ''American Woolen Company'', qui avait fait un gros paiement au défendant sous des circonstances non-expliquées peu avant que la dynamite ait été trouvée, ne fut pas chargé.
 
Un entrepreneur local et membre du comité de l'école de Lawrence essaya de disloquer la tête de la grève et de faire arrêter Ettor et Giovannitti en posant de la dynamite dans plusieurs endroits de la ville, une semaine après le début de la grève. Il reçut une amende de 500$ et fut libéré sans temps de prison. William Wood, le propriétaire de la ''American Woolen Company'', qui avait fait un gros paiement au défendant sous des circonstances non-expliquées peu avant que la dynamite ait été trouvée, ne fut pas chargé.

Revision as of 00:11, 21 August 2007