Difference between revisions of "Autosuffisance"

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L''''autosubsistance''' ou '''autosuffisance''', est la capacité ou la possibilité de répondre à ses besoins naturels de façon [[Autonomie|autonome]] par nos propres techniques de subsistance(chasse, trappe, agriculture, pêche, cueillette,...). L'autosubsistance fait rupture avec l'économie de marché par sa non-coopération et par son refus de la pensée dominante, l'individualisme bourgeois.
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L''''autosuffisance''' (voir aussi ''Autosubsistance'') est la capacité ou la possibilité pour un individu, une communauté ou une région de répondre à ses besoins de manière [[Autonomie|autonome]]. En refusant l'interdépendance propre à l'économie de marché, la gestion du train et de ses impacts (sociaux, environnementaux, etc.) devient beaucoup plus directe et aisée pour tout un chacun. Concrètement, l'autosuffisance peut consister, dans une communauté, à se débarasser des entreprises étrangères pour y établir des services locaux.  
  
L'autosubsistance est habituellement pratiquée par des groupes d'individus, et par des gens ayant besoin d'être seul face à eux-même pour un bout de temps.
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L'autosuffisance d'une communauté n'est pas nécessairement en rupture avec le modèle économique [[Capitalisme|capitaliste]], mais elle produit un roulement local qui favorise le développement de la communauté. Quoi qu'il en soit, l'autosuffisance reste une pratique économique en rupture avec le modèle économique du libre-marché néo-libéral (cf. ''[[Mondialisation économique]], [[OMC]], [[Impérialisme]], etc.'').
  
==Colonialisme et autosubsistance==
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L'autosubsistance consiste davantage en la satisfaction des besoins essentiels par nos [[Exploitation naturelle|propres techniques]] (chasse, trappe, agriculture, pêche, cueillette, etc.).
En plus de sa dictature et de son contrôle politique, militaire et économique, les colonisations ont eu comme effet, l'acculturation(autant dans le mode de vie, que de la langue ou de la transmission orale intergénérationelle).  
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L'éducation a été vue comme la possibilité d'une assimilation directe par la culture(dégueulasse, mais pour certains c'était aussi la race) dominante. Les clergés religieux se voyaient allouer la responsabilité des [[Autochtones d'Amérique#Acculturation par l'éducation|Pensionnats autochtones]]. Ses établissements ont vu les scènes-prisonnières de viols, aggresions physiques, mauvais traitements, d'esclavagisme et les criminels étaient le personnel du clergé qui s'en occupaient. L'éducation des enfants est par la suite devenu obligatoire dans bien des endroits, et beaucoup d'autochtones se sont sédentariser pour tenter de garder les contacts intergénérationels qui s'étaient perdurer pendant tellement de générations. Les règlements sévères tenus en place par la répression faisaient sorte que leurs enfants ne pouvaient entrer en contact avec eux que deux mois par année. Contact qui avait pourtant été la base de la transmission des connaissances techniques et historiques, des histoires, des valeurs,... depuis tant de générations.
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==Le dépérissement de l'autosubsistance des autochtones et la colonisation==
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Avant leur acculturation et le changement de leur mode de vie, de leur langue ou des transmissions orales de génération en génération (qui sont quelques uns des effets de la colonisation), les autochtones vivaient l'autosubsistance de façon nomade ou semi-sédentaire, selon le milieu qu'ils et elles habitaient et les techniques de production du nécessaire pour survivre.
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L'éducation a été vue comme la possibilité d'une assimilation directe pour les colons, ainsi les clergés se sont attribué la responsabilité des [[Autochtones d'Amérique#Acculturation par l'éducation|pensionnats autochtones]]. Ces établissements ont vu les scènes-prisonnières de viols, aggresions physiques, mauvais traitements, esclavagisme, le tout étant commis par le personnel du clergé qui s'en occupait. L'éducation des enfants est par la suite devenue obligatoire dans bien des provinces et états et beaucoup d'autochtones se sont sédentarisés pour tenter de garder contact avec les enfants.  
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Les règlements sévères instaurés par les autorités religieuses dans ces écoles faisaient en sorte que les enfants ne pouvaient entrer en contact avec eux seulement deux mois par an et ne pouvaient parler dans leurs langues maternelles. Ces contacts étaient pourtant à la base de la transmission des connaissances techniques et historiques, des histoires ou des valeurs depuis des générations.
  
 
==Voir aussi==
 
==Voir aussi==

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