Difference between revisions of "Abraham Guillén"

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Contre tous ces gestionnaires du capitalisme, de gauche ou de droite, bourgeois ou bureaucrates, conservateurs ou révolutionnaires, du socialisme parlementaire, du communisme totalitaire, de la démocratie bourgeoise, du corporatisme, menant tous à des crises économiques (inflations / déflations) ; A.G préconise donc la débureaucratisation et la débourgeoisification, qui permettrait de s'émanciper économiquement et socialement, en réalisant l'auto-gestion, la démocratie directe, le fédéralisme et le socialisme.
 
Contre tous ces gestionnaires du capitalisme, de gauche ou de droite, bourgeois ou bureaucrates, conservateurs ou révolutionnaires, du socialisme parlementaire, du communisme totalitaire, de la démocratie bourgeoise, du corporatisme, menant tous à des crises économiques (inflations / déflations) ; A.G préconise donc la débureaucratisation et la débourgeoisification, qui permettrait de s'émanciper économiquement et socialement, en réalisant l'auto-gestion, la démocratie directe, le fédéralisme et le socialisme.
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====technologie et productivisme====
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A. Guillén considére la science comme un moyen permettant la réalisation d'une économie libertaire et l'abolition de l'État. La révolution informatique, l'automation/automatisme, entre autres, étant des moyens important et essentiels menant vers cette réalisation d'une "''société harmonieuse sans conflits sociaux, ni contradictions économiques''", abolissant la traditionnelle division du travail, et comme moyens permettant d'accroitre la productivité des machines pour ainsi libérer le temps de travail des travailleurs ; mi-temps productif libérant les travailleurs manuels de la production matérielle et mi-temps éducatif permettant la polyvalence par l'apprentissage de divers métiers.
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Dans Le socialisme libertaire, les moyens techniques seraient donc socialisés, et ne seraient pas, comme dans la dictature du capital privé ou d'État, appropriés par une ploutocratie. L'informatique et les réseaux informatiques permettrait de se passer des bureaucrates et des technocrates, pour ainsi permettre l'autogestion par ces réseaux, qui sont alors plus efficaces et meilleur marché pour la gestion des besoins et des moyens. A. Guillén préconise pour ces évolutions, la démocratie (participation directe de la population aux décisions la concernant), la croissance économique, et une plus grande productivité (+ que dans le capitalisme d'État ou privé).
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la productivité augmentant, du fait de l'amélioration des machines, de méthodes plus efficaces, et de par l'instruction du travailleur ; cela aménerait l'heure de travail à avoir moins de valeur d'échange et augmenterait sa valeur d'utilisation. L'évolution d'un tel systéme économique ménerait vers une société d'abondance, où la valeur des choses serait basé essentiellement sur le travail passé, le présent n'étant plus que du travail automatisé (avec peu de frais), ceci permettant une production autogeré de l'abondance. Le communisme libertaire est, pour A. Guillén, le point résumant une société d'abondance dans lequel toutes ces techniques auraient des conditions libératrices adéquat, avec peu d'obstacles.
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le "Conseil Fédératif de l'Économie" fédérait donc toutes les branches de production et des services. Ainsi, le conseil aidé par les réseaux informatiques recenserait les besoins et les capacités réélles de tous les travailleurs (organisés en "conseils ouvriers d'autogestion") et de toutes les branches.
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'''à développer'''
 
'''à développer'''

Revision as of 19:54, 25 November 2006