Anarchopedia talk:Points De Vue Anarchiste
En pratique, a quoi sert cette page
Suite à une demande, j'ai regardé la page. Une remarque, je ne comprends pas bien à quoi elle sert.
Attention, je suis en accord avec ce qui est écrit. Toutefois, en la lisant je ne comprends pas, pratiquement comment l'utiliser:
- un accueil
- un avertissement
- une vignette à insérer dans certains documents???
Il me semble qu'il faut préciser la façon de l'utiliser --Zuthos 1 avr 2006 à 09:37 (UTC)
- En fait, cette page est visible sur le bandeau de la page de modifications récentes (entre autres), et c'est un préambule à l'usage d'anarchopedia (ou pour préciser qu'anarchopedia ne tient pas à recenser des points de vue ou des expressions non anarchistes ou des termes inventés se désignant "anar" sous des prétextes divers ; ce genre d'oxymores ou de termes antinomiques pouvant être inventés à la pelle par les médias, et il y en a...), une sorte de politique éditoriale (pour éviter le n'importe quoi ?). C'est en cas de conflits avec une édition complètement hors de la philosophie anarchiste. C'est justement un sujet à débattre... -- ¤ 1 avr 2006 à 10:19 (UTC)
identitaire
proposition à dévelloper/discuter
- À propos des anarchistes identitaires; Par exemple Émile Masson est anarchiste mais, identitaire Breton. Il se dit quand même internationaliste et révolutionnaire (pas de droite). C'est un militant pour l'indépendance bretonne.
- Pour ma part, je crois que cette notion d'identité est merdique, basée sur une protection de culture à l'intérieur de fontières. Mais d'autres argumentent sur des facteurs historiques. Par exemple, les indépendantistes québécois (leur seul argument qui ne fait pas protectionniste ou nationaliste) disent qu'ils se séparent des anglais, qui riches, leur ont volé leurs terres, sont devenus leurs patrons, ont contrôlés leur système politique longtemps, etc... cet argument fait un peu lutte de classe. Les temps ont bien changés et la cause indépendantiste québécoise s'est perdue dans l'attente de temps nouveaux amenés par l'État, peut-être espèrent-ils que l'État va les protéger du néo-libéralisme (que tous les partis majoritaires, même celui souverainiste, nous convient). Et vous, que pensez-vous des identitaires et des luttes d'indépendance? - Samarre
- il y avait aussi proudhon (entre autres) qui était salement misogyne... --doud
- le lien 1 (en pdf) et le lien 2 posent ces questions, de maniére opposé et en même temps complémentaires. C'est comme ce deuxiéme lien que je vois l'identité aussi, et concernant Anarchopedia:Points De Vue Anarchiste, je ne pense pas que l'on puisse (et qu'il soit souhaitable) d'appeler en tendance les indépendantistes (identitaires), car les luttes de libération nationales ou indépendantistes sont des questions d'ordre générales de soutien aux opprimés (colonialisme, etc. avec les nuances nécessaires) qui sont posés par les anarchistes. je pense donc que ce type de questions (genre, sexualité, identité, etc...) peuvent être posés dans des articles sous cette forme : Anarchisme et sexualité, Anarchisme et genre, Anarchisme et identité (culturelle, politique, etc), Anarchisme et indépendance, etc... -- ¤ 18 jul 2006 à 19:57 (UTC)
- L'intérêt des tendances, par exemple dans l'écologisme, est surtout de montrer l'anarchisme à des gens déjà réunis dans l'écologisme, montrer comment l'anarchisme peut règler les problèmes poser dans leur militantisme. Un des problèmes dans cette diversification des tendances pourraient être le détachement en faction distincte mais, l'anarchisme en commun, avec ou sans adjectif, avec un dit ou non-dit synthésisme, je crois qu'il ne s'agit de trucs que théorique et aussi, un enrichissement de l'aanrchisme par la diversité des intérêts. Je crois que plusieurs auteurs ont créés des tendances pour approcher les individus dans des luttes. Et si vraiment, les tendances ont été créées dans ce but, je pense qu'il est bon(dans Apedia) de les noter comme existante, de les décrire un peu, mais pas nécessairement leur accorder la place d'importance qu'elles ont présentement sur la page d'accueil. Dans une possible-future page-portail d'accueil, les tendances pourraient se grouper en un onglet(tendances anarchistes) après bien des trucs comme les moyens d'organisation et les formes d'action.
Je compte me consacrer par la suite à la traduction de l'article anarchisme et nationalisme, qui risque d'en faire changer plus d'un-e sur le nationalisme. Je connaîs des anarchistes qui se disent nationalistes, n'ont pas en parlant d'un pays (comme les boneheads en manque de reconnaissance), mais d'une culture, écrasée par l'impérialisme économique (domination de la culture anglaise), politique (français langue officielle) etc... Je pense aux occitans, basques, corses, bretons etc...--Sins We Can't Absolve 5 juillet 2007 à 16:54 (UTC)
Histoire anarchiste
Ce terme m'apparaît intéressant à développer en lien avec le APOV. Tout d'abord, l'anar ne remarquera pas l'Histoire comme le ferait un banquier ou un politicien. Il y a une volonté chez les anarchistes de dénoncer la cruauté de l'histoire d'un système d'exploitation et de domination. Howard Zinn, a écrit Une histoire populaire des Etats-Unis dans lequel il montre une face de l'histoire que les historiens, sous contraintes du payeur/de la payeuse, n'auraient pas osé montrer. Le massacre et les crimes des colons envers les amérindiens et autochtones du monde ont été trop souvent tues et amoindries. En autre référence, Élisée Reclus, géographe voyageur, aurait certainement pu donner beaucoup de sens au terme Histoire anarchiste. Sa géographie sociale exprimait les conditions économiques et sociales que vivaient les gens et permettaient d'y relier les conséquences et les façons de remédier à la situation. De même, dans l'Escuela Moderna et beaucoup d'écoles à tendance libertaire, on voulut dépasser l'éducation-contrôle-des-masses de l'État en développant des écoles concentrées sur le développement de la pensée critique, des capacités créatives et la liberté des enfants.
Et puis, on peut se demander ce qui est vraiment représentatif comme histoire? Joe Gould, lui, tentait d'écrire l'histoire orale de la ville de New York à partir de ce qu'il entendait dire des passant(e)s dans la rue. Écouter ce que les gens disent dans la rue ou dans des contextes particuliers en dit souvent pas mal sur leur conditions de vie, leurs aspirations, leurs temps. En étant moins personnelle, l'histoire populaire raconte quand même la précarité, le chômage, les luttes sociales et les temps durs des communautés. Puis, il y aussi les conteurs/euses, pour certains libertaires, qui font resurgir des morceaux d'chocolathistoires du passé par transmission vocale. (je continuerai plus tard)
- je comprend la problématique, par rapport à l'Histoire, mais je ne sais pas trop quoi en penser... peut-être exposer toutes ces façons de faire vis-à -vis de l'Histoire ? --Libre