Difference between revisions of "Esclavage salarié"

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L'esclavage salarié peut être décrit comme un manque de droits. Les seuls droits qu'une personne a sont ceux que le marché du travail lui confère. Si une personne a des enfants et qu'elle n'arrive pas à gagner suffisament d'argent, ils/elles vont tou-te-s mourir de faim. L'accès au soin de cette personne est également limitée par son argent ; si elle n'en a pas assez, elle ne peut se faire soigner. Les capitalistes détiennent les moyens de production et font du profit simplement en accordant la permission à un individu d'utiliser ces moyens de production. Cela, ils le font en échange de salaires. La possession privée des moyens de production engendre donc l'abus, et les travailleur-euse-s constituant la majeure partie de la population, l'élite capitaliste maintient l'esclavage salarié à travers le contrôle des média et des institutions éducatives, des lois sévères, et la violence d'État (la police arrête systématiquement les travailleurs qui essayent de diriger démocratiquement une entreprise appartenant à un capitaliste<ref>Par exemple, les grévistes ne peuvent pas utiliser les moyens de production pour redistribuer gratuitement leur production, ceci est ironiquement considéré comme du vol aux yeux de la justice française (et la justice institutionelle en général).</ref>)
 
L'esclavage salarié peut être décrit comme un manque de droits. Les seuls droits qu'une personne a sont ceux que le marché du travail lui confère. Si une personne a des enfants et qu'elle n'arrive pas à gagner suffisament d'argent, ils/elles vont tou-te-s mourir de faim. L'accès au soin de cette personne est également limitée par son argent ; si elle n'en a pas assez, elle ne peut se faire soigner. Les capitalistes détiennent les moyens de production et font du profit simplement en accordant la permission à un individu d'utiliser ces moyens de production. Cela, ils le font en échange de salaires. La possession privée des moyens de production engendre donc l'abus, et les travailleur-euse-s constituant la majeure partie de la population, l'élite capitaliste maintient l'esclavage salarié à travers le contrôle des média et des institutions éducatives, des lois sévères, et la violence d'État (la police arrête systématiquement les travailleurs qui essayent de diriger démocratiquement une entreprise appartenant à un capitaliste<ref>Par exemple, les grévistes ne peuvent pas utiliser les moyens de production pour redistribuer gratuitement leur production, ceci est ironiquement considéré comme du vol aux yeux de la justice française (et la justice institutionelle en général).</ref>)
  
La première description articulée de l'esclavagisme salarié fut faite par Simon Linguet<ref>Simon Linguet ([[1736]]-[[1794]]) était un avocat et un historien français, critique conservateur des Lumières et de l'économie défendue par les Physiocrates, et opposant à la Révolution française. Il fut guillotiné pendant la Terreur. The reference here is to his book Théorie des lois civiles, ou principes fondamentaux de la société, published anonymously in London, 1767, Vol. II, pp.462--8.</ref> en [[1763]].
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La première description articulée de l'esclavagisme salarié fut faite par Simon Linguet<ref>Simon Linguet ([[1736]]-[[1794]]) était un avocat et un historien français, critique conservateur des Lumières et de l'économie défendue par les Physiocrates, et opposant à la Révolution française. Il fut guillotiné pendant la Terreur. La référence qui suit est extraite de son livre ''Théorie des lois civiles, ou principes fondamentaux de la société'', publié anonymement à Londre en [[1767]], Vol. II, pp.462-468.</ref> en [[1763]].
  
 
<blockquote>« L'esclave était précieux pour son maître en raison de l'argent qu'il lui avait coûté. [...] Le sang des hommes a un certain prix de nos jours d'esclavagisme. Ils valaient au moins autant que ce pourquoi ils pouvaient être vendus sur le marché. [...] C'est l'impossibilité de vivre par un quelconque autre moyen qui contraint nos fermiers à cultiver le sol dont ils ne mangeront pas les fruits, et nos maçons à construire des immeubles dans lesquels ils ne vivront pas. C'est ce qui les entraîne vers ces marchés où ils attendent des maîtres qui leur feront la gentillesse de les acheter. C'est le besoin qui les contrait à se mettre à genoux face au riche, au lieu de lui demander la persmission pour l'enrichir. [...] Quel avantage [lui a] apporté la suppression de l'esclavage ? Il est libre vous dites. Ah, mais c'est son malheur. [...] Ces hommes, dit-on, n'ont pas de maître ; ils en ont un, et le plus terrible qui soit, le plus impérieux des maîtres, et c'est le besoin. C'est ce qui les réduit à la plus cruelle dépendance. Ils ne vivent qu'en louant leurs bras. Ils doivent donc trouver quelqu'un pour les louer, ou mourir de faim. Est-ce ça être libre ? »<ref>Cité par Marx dans ''[http://www.marxists.org/archive/marx/works/1863/theories-surplus-value/index.htm Theories of Surplus-Value''], retraduit du [http://www.marxists.org/archive/marx/works/1863/theories-surplus-value/ch07.htm texte anglais]</ref></blockquote>
 
<blockquote>« L'esclave était précieux pour son maître en raison de l'argent qu'il lui avait coûté. [...] Le sang des hommes a un certain prix de nos jours d'esclavagisme. Ils valaient au moins autant que ce pourquoi ils pouvaient être vendus sur le marché. [...] C'est l'impossibilité de vivre par un quelconque autre moyen qui contraint nos fermiers à cultiver le sol dont ils ne mangeront pas les fruits, et nos maçons à construire des immeubles dans lesquels ils ne vivront pas. C'est ce qui les entraîne vers ces marchés où ils attendent des maîtres qui leur feront la gentillesse de les acheter. C'est le besoin qui les contrait à se mettre à genoux face au riche, au lieu de lui demander la persmission pour l'enrichir. [...] Quel avantage [lui a] apporté la suppression de l'esclavage ? Il est libre vous dites. Ah, mais c'est son malheur. [...] Ces hommes, dit-on, n'ont pas de maître ; ils en ont un, et le plus terrible qui soit, le plus impérieux des maîtres, et c'est le besoin. C'est ce qui les réduit à la plus cruelle dépendance. Ils ne vivent qu'en louant leurs bras. Ils doivent donc trouver quelqu'un pour les louer, ou mourir de faim. Est-ce ça être libre ? »<ref>Cité par Marx dans ''[http://www.marxists.org/archive/marx/works/1863/theories-surplus-value/index.htm Theories of Surplus-Value''], retraduit du [http://www.marxists.org/archive/marx/works/1863/theories-surplus-value/ch07.htm texte anglais]</ref></blockquote>
  
== L'esclavage salarié dans la société capitaliste ==
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== L'esclavage salarié dans la société capitaliste, un point de vue marxiste ==
 
L'esclavage salarié en tant que concept est une critique du [[capitalisme]] &mdash; lorsque une minorité de personnes contrôlent tous les moyens de production (le [[capital]]) que les travailleurs utilisent pour produire des biens.
 
L'esclavage salarié en tant que concept est une critique du [[capitalisme]] &mdash; lorsque une minorité de personnes contrôlent tous les moyens de production (le [[capital]]) que les travailleurs utilisent pour produire des biens.
  
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#La concentration de la propriété entre les mains d'une poignée d'individus.
 
#La concentration de la propriété entre les mains d'une poignée d'individus.
 
#Le manque d'accès direct pour les travailleurs aux moyens de production et aux biens de consommation.
 
#Le manque d'accès direct pour les travailleurs aux moyens de production et aux biens de consommation.
#L'existence d'une armée de réserve de travailleur-euse-s au chômage<ref>À ce sujet, lire [http://www.marxists.org/francais/marx/works/1867/Capital-I/kmcapI-25-3.htm Production croissante d’une surpopulation relative ou d’une armée industrielle de réserve], [[Karl Marx|Marx]], ''Le Capital'', section VII, chapitre XXV, III</ref>.
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#L'existence d'une « armée de réserve » de travailleur-euse-s au chômage (= chômage de masse)<ref>À ce sujet, lire [http://www.marxists.org/francais/marx/works/1867/Capital-I/kmcapI-25-3.htm Production croissante d’une surpopulation relative ou d’une armée industrielle de réserve], [[Karl Marx|Marx]], ''Le Capital'', section VII, chapitre XXV, III</ref>.
  
 
De plus, pour [[Karl Marx|Marx]], cette situation n'était en fin de compte due qu'à l'existence de la [[propriété privée]] et de l'[[État]].
 
De plus, pour [[Karl Marx|Marx]], cette situation n'était en fin de compte due qu'à l'existence de la [[propriété privée]] et de l'[[État]].
  
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[[Karl Marx|Marx]] reconnaît que certains travailleurs peuvent échapper à l'esclavage salarié en devenant capitalistes, mais seulement quelques un-e-s d'entre eux/elles. Mais pour lui, les profits reçus par les capitalistes étaient dépendants du travail effectué par la classe laborieuse, si bien qu'une augmentation trop importante de la classe capitaliste amènerait à la chute du capitalisme, à moins que cette augmentation soit contre-balancée par une diminution de la classe capitaliste, afin de maintenir le ratio capitalistes/employé-e-s. Ainsi, même si les visages des esclaves salarié-e-s changent, cette catégorie de personne elle, reste. Il en était de même par exemple dans l'Empire Romain, où un esclave pouvait gagner sa liberté, sans pour autant que cela entraîne la fin de l'esclavage, ce dernier lui, existant toujours en tant qu'institution.
  
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L'esclavage salarié ne se limite malheureusement pas au domaine économique ; l'employeur, puisqu'il est « maître » de ses employé-e-s, peut décider de licencier une personne sur des motifs non-professionnels : convictions politiques, mœurs, ou sur des motifs touchant certes le monde du travail, mais relevant des droits individuels, comme le fait par exemple d'être syndiqué-e. En système libéral, l'employeur a tout le pouvoir qu'il veut sur son employé-e ; néanmoins, la plupart des démocraties bourgeoises libérales mettent sur pied des lois afin que les employé-e-s ne soient pas complètement exploité-e-s [sic], avec des dispositifs anti-discrimination (consolation pour le moins minime).
  
Marx recognized that some working people could escape wage slavery and become capitalists, if only in small numbers. But to him, the profits received by the capitalists were dependent on the work done by the working class, so that too much upward mobility would lead to the downfall of capitalism, unless it was balanced by downward mobility out of the capitalist class. This suggests that even if the faces of the "wage slaves" change, the category remains. A common analogy is that even if some slaves can win their freedom (as in the Roman Empire), slavery as an institution will still exist.
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== Les anarchistes face à l'esclavage salarié ==
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Anarchists believe that the employer-employee relationship is based on employer coercion. They argue that the oppressive restrictions of public and private property, upheld variously by states, corporations, and individuals, allow employers to blackmail employees into working for use of resources that they would otherwise have free access to either individually through mutualist banks or collectively through voluntarily associated communes and syndicates.  Traditional anarchists claim that such oppression should be resisted.  However, they generally follow Kant in maintaining that freedom can not be given as a privilege by some third party, but must instead be won through the struggles of the oppressed themselves (citing for example that being freed is not being free, that freedom if unused, for example by not participating in collective deliberation and planning and just obeying, new masters will arise).  As such, libertarian socialists encourage employees to resist and obstruct economics based on hierarchical power and what they consider to be wage slavery.  This is known as [[direct action]].  Many also believe that anarchists are obliged to aid such groups when they call for help in their struggles. Ultimately, traditional anarchists believe that all forms of institutional authority must be resisted, because of their coercive nature.
  
Critics of capitalism may view the [[working class]] to be slaves if employers have unrestricted power to fire individual workers; this is especially true if they can [[blacklist]] them from other employment. The "at will" employment arrangement means that a worker may be fired (or quit) for any reason. If a worker fears losing his or her job more than the employer fears losing a particular worker, then the employer can govern the personal life of the worker. For example, a worker may be fired based on his or her [[religious affiliation]], unless protected by an enforceable [[anti-discrimination law]]. In an unrestrained form, this power even extends to basic civil liberties, such as the right to worship freely or to express political opinions. This power could also undermine the right to [[vote]]; fear of this factor was a significant motivator for instituting the [[secret ballot]].
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Anarchists often argue that, just as no ordinary person (as opposed to someone who is independently wealthy) can refuse to work, so there is no freedom involved in the negotiation of a contract with an employer who has the ability to dictate the terms of any contract to dispossessed employees who amount to little more than [[wage slave]]s living at the whim of the wealthy.
  
Instances of wage slavery that show the most similarity to chattel slavery occur in societies where educational opportunities are limited, [[trade union|unionization]] is violently suppressed, and property may be arbitrarily confiscated. By connection of global trade networks, these harsh instances of wage slavery are connected to and affect societies with stronger traditions of freedom and few noticeable effects of supposed wage slavery. Extreme critics of capitalism argue that the same basic relationships are present in all capitalist societies, even if their impact is lessened by various traditions such as state accountability to the people and the establishment of a [[mixed economy]]. A mixed economy can permit some private control based upon ownership, but also supposedly exerts social control of capital through state ownership of certain industries or regulation of private economic relationships. Some proponents of [[neoliberalism]] advocate that the state only own those industries that are truly [[public goods]] while at the same time allowing the rest of the economy to remain capitalist. Extreme proponents of capitalism advocate that everything, even industries that are essential to life, should be [[privatization|private]] property, bought and sold on the free market.
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Anarchists also reject the claim that their objection to capitalist economics is based on the necessity of labor.  They mostly agree that some form of [[manual labour|manual labor]] (which they often distinguish from [[work]]) is currently necessary. However, they do not agree that the necessity for manual labor requires that the form of this labor be dictated by privileged individuals who control the wealth and resources of the society. Instead, they argue that individual liberty requires that the laborers themselves control the means and mode of their labor, rather than having their actions dictated by others.  Thus, those who are required to labor for survival should have representation in the use and distribution of the resources they interact with and distribute. They do not believe that the mere ability to disassociate from a given employer is an adequate form of representation, given that the employers as a class can continue to dictate use of resources and compel others into wage-slavery once the association is disbanded.  
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Furthermore, anarchists argue that being a servant with the "freedom" to choose your master does not represent actual "freedom" in any meaningful sense.  Often, they also argue that a worker's "freedom" to choose his employer is no different from that same worker's "freedom" to choose what state he lives under (by moving to another country if necessary, and possible), because there is no real difference between the coercion of private companies and the coercion of the state &mdash; and thus it makes no sense to abolish one while preserving the other.
  
Critics of capitalism also assert that capitalist [[economic system]]s have a tendency to [[commodity|commodify]] the very things that should be most freely available in society&mdash;especially one that is technologically advanced. The result is that the market settles on producing products that are the minimum quality the market will support, as opposed to the maximum quality possible with available resources.  A pronounced lack of [[leisure]] time is commonly the focal point of such an argument.
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Traditional individualist anarchists, such as the late Benjamin Tucker, (who identified his [[American individualist anarchism]] as "Anarchistic Socialism") are opposed to both [[capitalism]] and [[anarchist-communism]]. They support wage labor as long as the employers and employees are paid equally for equal hours worked (this approach was put into practice in American individualist anarchist colonies such as [[Utopia (anarchist community)|Utopia]], which was organized by [[Josiah Warren]]). By following this principle, no individual profits from the labor of another. Benjamin Tucker described the wages received in such an employer-employee relationship as the individual laborer's "full product." Tucker called communist-anarchism "pseudo-anarchism," because it opposes wages and private property <ref>[http://flag.blackened.net/daver/anarchism/tucker/tucker37.html ''Labor and its Pay''], extrait de ''Individual Liberty: Selections From the Writings of Benjamin R. Tucker'', Vanguard Press, New York, [[1926]].</ref>.
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== Désaccord avec les "anarcho"-capitalistes ==
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Anarcho-capitalists think that an employer-employee relationship is basically an elaborate and mutually profitable form of voluntary association. They resent government as a parasite that corrupts, biases, impedes and distorts what would otherwise be peaceful fair and free associations.
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Anarcho-capitalists consider that the consent to a contract that each party was free to refuse is evidence and guarantee that the contract is legitimate and beneficial. They claim that any external power capable of preventing such relationship is itself an oppression to be fought.
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Anarcho-capitalists argue that, no matter what social organization may or may not exist, social organizations will never eliminate the basic human requirement to work in order to support themselves. Therefore an objection based on a constraint that cannot be overcome is useless to argue about, and not a rational objection at all. They also argue that while someone may not be able to refuse to work in general, one has the largest choice of employers with the diversity of a free market economy, and that what matters is that no given employer/employee contract in particular be coercive.
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Anarcho-capitalists are mostly isolated from the larger social anarchist community, which is traditionally [[anti-capitalist]]. Anarcho-capitalism is considered a paradox by many anarcho-socialists, who place the theory closer to right-wing libertarianism than to other currents of anarchist thought.
  
 
== Notes et références ==
 
== Notes et références ==
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[[Catégorie:Socialisme]]
 
[[Catégorie:Socialisme]]
  
{{wikipedia}} (cet article est une traduction de l'[http://en.wikipedia.org/wiki/Wage_slavery article anglais ''Wage slavery''], mélangé à l'[http://fr.wikipedia.org/wiki/Esclavage_salari%C3%A9 article français] de Wikipédia, augmenté, et auquel ont été retirées les falsifications libérales).
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{{wikipedia}} (cet article est une traduction de l'[http://en.wikipedia.org/wiki/Wage_slavery article anglais ''Wage slavery''], mélangé à l'[http://fr.wikipedia.org/wiki/Esclavage_salari%C3%A9 article français] de Wikipédia, augmenté, et auquel ont été retirées les falsifications libérales, ainsi que du [http://eng.anarchopedia.org/anarchism_and_capitalism#Wage_labor paragraphe ''Wage slavery'' de l'article ''anarchism and capitalism'' de l'Anarchopédia anglais], ainsi que du [http://eng.anarchopedia.org/anarcho-capitalism#Wage_labor paragraphe du même nom de l'article ''anarcho-capitalism''], et enfin, de l'[http://eng.anarchopedia.org/wage_slave article anglais ''wage labor'' de l'Anarchopédia anglais]).

Revision as of 18:27, 25 August 2007