Armand Guerra
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Catégorie:Ébauches Armand Guerra, José Maria EstÃbalis Calvo de son vrai nom, naît le 4 janvier 1886 à LlÃria, Valence, Espagne d'une mère très pieuse. Celle-ci l'envoiera au Séminaire de Valence dès... mais, c'est alors qu'il deviendra un athée convaincu. Il commence à travailler dans une imprimerie à l'âge de treize ans. En 1907, Armand se retrouve en prison pour avoir pris part à la grève des typographes. C'est alors, que la conscience politique de Guerra se développe. Il partira pour de nombreux pays, participera aux mouvements anarchistes et à la presse(comme le journal Tierra y Libertad(Espagne), L'Idea(Le Caire, Égypte), Tierra(Cuba), Le Réveil Anarchiste(Genève, Suisse). Armand a été un réalisateur et comédien très important dans le fonctionnement de la Coopérative du Cinéma du Peuple.
En 1915, il est expulsé de France pour ses activités éditoriales dans la presse anarchiste
Carne de Fieras est un film qu'il avait réalisé à partir de l'été 1936 en Espagne et dont le tournage fut stoppé par le putch militaire de Franco. Les péllicules seront oubliés dans leur boîte jusqu'en 1992, où Ferrán Alberich et une équipe travaillèrent à reconstruire le film.
Décède le 10 mars 1939 d'une attaque cérébrale dans les rues de Paris.
Filmographie[edit]
- "Un cri dans la jungle" (1911)
- "Misère de l’Aiguille" (1913) - muet, première apparition de l'actrice anarchiste Musidora(Jeanne Roques)
- "Le vieux docker"(1913) - qui fait allusion à l'affaire Jules Durand
- "La commune" (1914)
- "Batalla de damas" (1927) - produit par Guerra, réalisé par Damen Krieg
- "L’amour chante" (1930)
- "Carne de Fieras" (1936) - produit par Arturo Carballo, réalisé par Guerra
- ...
Voir aussi[edit]
- Armand Guerra, un cinéaste hors du commun, Isabelle Marinone
- Dossier de 5 articles sur "1913-1914 : La coopérative libertaire du Cinéma du Peuple.", Thèses et mémoires sur les anarchismes
- Culture - Armand Guerra: Typesetter, film maker, scenario writer, actor and anarchist, Anarchist Federation
- Armand Guerra, cineasta y pionero del cine militante, Eric Jarry