User:Stevo/Révolution Espagnole
Géopolitique[edit]
où serait traité tout ce qui touches aux relations internationales (actions des autres pays) et nationales (la politique dans le front populaire, les ministres anarchistes), la situation économique avant la guerre, les déclencheurs...
Politique Espagnole du début du siècle à 1936[edit]
- les régimes du début du siècle, la situation socio-économique du pays
- la défaite du roi Alphonse XIII aux élections municipales du 12 avril 1931 et début de la République
- Soulèvement de mineurs armés dans la région de Barcelone(1932) en réponse aux soulèvements anarchiste en Catalogne
- la CNT aux élection parlementaire de 1933 (abstention -> victoire de la droite) "Face aux urnes, la Révolution sociale !" (Pavon, Germinal, Durruti et Orobon)
- Casas Viejas
- le Soulèvement des Asturies(Octobre 1934)
- l'alliance CNT-UGT (syndicat socialiste)
- les négociations avec le front populaire pour les élections de 1936 (libération des prisonniers politique)
- les révoltes réprimés
- Aux élections de février 1936, les anarchistes votent en masse pour la gauche(Front populaire) dans le but de déloger le gouvernement réactionnaire et d'obtenir la libération de 33 000 prisonniers politiques. La gauche représentait le moindre mal
- A permis la libération de 15 000 hommes selon certains, ces libération ont/aurait été indispensable au soulèvement de juillet. La négociation de ces libération contre les voix à été faite par les "fortes personnalités" de la CNT qui ont parfois marchandé sans mandat de l'Organisation.
- Ces votes anarchistes ont été utilisé comme arme pour marchander les prisonniers avec la gauche par certaines personnalités de la CNT, sacrifiant les principes politiques de la CNT. La direction de la CNT à abandonné le principe pour la tactique.
- Il n'a pas été demandé explicitement aux anarchistes de voter pour le front populaire, mais aucune campagne abstentionniste n'a été menée, d'où les votes anarchistes.
- un million un quart (1 250 000?) de voix peuvent être attribuées peuvent être attribuées aux anarchistes (différences de votes pour la gauche entre 33 et 36) (Gerald B., le Labyrinthe espagnole).
- En catalogne, la CNT-FAI représente l'énorme majorité
- En assurant la victoire au front populaire, permettant la préparation secrète du putsch militaire, alors que l'abstention aurai mis la droite au pouvoir, réactionnaire, qui aurait peut-être freiné les élans militaire. Le gouvernement de droite, comme les autres, ne serait pas resté plus de 2-3 ans.
- Lors du congrès de Saragosse (Vernon R., 1997, p. 38), congrès le plus important de la CNT, n'a pas été discuté de l'attitude à adopter pour freiner le putch. La question de l'organisation post-révolutionnaire à été discuté, mais pas celle de l'organisation pendant la révolution, ce qui à été un manque sévère quand la révolution est venue.
- 649 délégués présent, représentant 982 syndicats de 550 595 membres (Vernon R., 1997, p38).
- Réintégration des scicionnistes Trentistes, représentant 60 621 membres.
- Décision de l'union CNT-UGT, mais la CNT était trop révolutionnaire pour les politiciens de l'UGT, et l'union ne fut conclu qu'en avril 1938.
- plus de détails: Vernon R., 1997, p40 et Peirats, 1972, p120-121 ; actes du congrès dans: Solidaridad Obrera n°1265-83 (Barcelone, 3-24 mai 1936) et journal CNT (Toulouse, 1954).
Coup d'état[edit]
- déclencheur (victoire du FP)
- un secret de polichinelle: le FP le nie (Vernon R., 1997, p36) et la CNT qui essaye d'alerter tout le monde
- Un manifeste de la CNT mettait en garde la population contre les préparatifs du coup d'état (mentionnant le Maroc):Ou le fascisme ou la Révolution sociale. (Reproduit dans José Peirats (1951 - 1972) La CNT en la Revolucion espagnola Vol. I. Toulouse - Paris
- Peu de temps de temps avant le coup d'état militant, il y eu 113 grèves général, 228 grèves locales, 1287 blessés et 269 tués à cause de rumeurs qui se répendaient. Le mot d'ordre était "Ou le facisme, ou la révolution sociale".
- Insurrection militaire de la Légion étrangère au Maroc, le 17 juillet
- Le front-populaire espagnole ne résiste pas à Franco, il cherche à traiter -> résistance populaire de la CNT et de l'UGT.
- Les parties socialiste et communiste font un communiqué commune: "Le moment est difficile. Le Gouvernement est sûr de posséder les moyens suffisants pour annihiler cette tentative criminelle. Dans l'éventualité où ces moyens seraient insuffisants, la Républiques a la promesse solennelle du Front populaire d'intervenir dans le combat lorsque son aide sera demandée. Que le Gouvernement ordonne, le Front populaire obéira."
Politique au début de la révolution[edit]
- Le 19 juillet 1936, les travailleurs espagnoles obtiennent leur libération
- Le 20 juillet 1936, le gouvernement de Madrid n'existe que de nom. Ce gouvernement est remanié pour intégré des gens de droite afin de faciliter les négociations.
- Le 20 juillet, les ouvriers de Barcelone victorieux ouvrent les prisons de Barcelone où se trouvent les camarades victime de partis de gauche.
- Le gouvernement retire les fonds de Catalogne, trop révolutionnaire, freinant ainsi la bonne marche de la résistance contre Franco. Les anarchistes dans leur volonté de ne pas briser la propriété des banques rendent un fière service au gouvernement, qui se refuse à acheter des armes à l'étranger alors qu'il ne manque pas d'argent pour les payer.
- En juillet, la seul autorité était celle des travailleurs armées de la CNT ou de l'UGT.
- 4 jours après la victoire de Barcelone, la 1ère colonne de 10 000 volontaires part aider Saragosse. les ouvriers occupaient les usines et adaptent la production à la guerre (tanks et armes). Les paysants occupaient les terres. Dans les villes, les services publics étaient réorganisés et assuraient la distribution de vivres.
- Les pillages sont minimes vu l'ampleur de la désorgaisation économique et l'absence de loi et d'ordre dans les premiers jours.
- Les ouvriers prennent l'initiative: ils organisent des patrouilles de sécurité, remplacent les douaniers pour éviter les actions francistes...
- la gauche et les communistes place leur confiance dans la non-action du gouvernement.
- Le 20 juillet, Luis Companys, président de la Généralité de Catalogne convoque des membres influant de la CNT-FAI dont Santillan et Garcia Oliver pour leur proposer de rester à son poste et d'aider la contre-insurrection ou de laisser sa place à la CNT-FAI. "La CNT et la FAI se décidèrent pour la collaboration et la démocratie, renonçant au totalitarisme révolutionnaire qui aurait conduit à l'étranglement de la Révoluion par la dictature anarchiste confédérale" (citation de Garcia Oliver dans De Julio a Julio, un año de lucha (Valencia, p193-196, 1937)). C'est le début d'une certaine trahison des ouvriers par leurs représentants et de la collaboration.
- La CNT répète l'erreur de la Commune de Paris en ne s'attaquant pas à la réserve d'or centrale de Madrid (2 259 millions de pesetas or, 2eme réserve du monde à l'époque) et en respectant la propriété des banques, allant même jusqu'à organiser une protection de ces édifices par les milices.
- Le gouvernement préfère voire le pays au main de Franco plutôt que d'armer le peuple. Il n'entreprend d'acheter aucune armes au début de la révolution alors que les fond ne manques pas, ni les vendeurs et que le pacte de non intervention n'a pas encore été signé. Les deux seuls décisions viable que le gouvernement aurait du prendre suite à l'insurrection militaire était de démobiliser l'armée (pour permettre la désertion, voir la rébellion des militaire en désaccord avec le coup d'état), et d'armer le peuple. N'ayant prises aucune de ces deux décision, il signa sa déchéance aux yeux des insurgés et du peuple.
- Les représentants s'éloignent des travailleurs, adoptant un discours moux et frileux, évitant d'aborder le thème de la révolution sociale et s'attaquant violemment aux pilleurs et incendiaires d'église relativement faible au vu de la désorganisation aux premiers jours de la révolution.
- Le gouvernement parvient à obtenir la dissolution du Comité des milices antifascistes, effrayé par l'importance que ce dernier avait pris. Les chefs de la CNT-FAI participèrent au gouvernement en attendant la fin de la guerre pour faire la révolution.
Collaboration[edit]
- Les "militants influents" de la CNT-FAI commencent à outrepasser leurs mandats, s'attribuant des rôle dirigeant, se laissent gagner par le pouvoir et s'éloignant de plus en plus des travailleurs.
- Ils tendent à interpréter le Communisme Libertaire comme une "dictature anarchiste" (Garcia Oliver) et que la seule alternative était la collaboration. Cette analyse sous entend que la société espagnole n'était pas prête pour une transformation si radicale. L'alternative choisie par ces dirigeants est la collaboration, alors qu'elle n'avait jamais été envisagé au paravent, quand le climat était encore moins propice à la révolution sociale. Ce choix est justifié par la nécessité d'une lutte anti-fasciste.
- Les dirigeant de la CNT-FAI s'oublièrent que toute les initiatives sont venue jusqu'à lors du peuple, que ce soit l'arrêt d'un coup d'état militaire adroit et professionnel, où la spontanéité des volontaire pour les colonnes, jusqu'à l'autogestion des usines.
- Les communistes, alors largement minoritaire en Espagne et absent en Catalogne, profitèrent de la trêve collaborationniste pour s'infiltrer dans les rangs socialiste, adoptant une position démocratique plutôt que révolutionnaire pour exploiter la peur de la révolution sociale.
- Les chefs de la CNT-FAI lui donne alors comme slogan "D'abord la guerre, puis la Révolution", une terrible erreur qui fut grandement exploité par les politiciens.
Personnalités anarchistes (et autres)[edit]
- Durruti
- Andrés Nin, leader du POUM
- Diego Abad de Santillan, membre influant/dirigeant de la CNT et de la FAI, organisateur des milices antifascistes en Catalogne, "ministre anarchiste" de la Généralité de Catalogne. (Vernon R., 1997, p34-35)
- José Peiras
- Juan Peiro, membre influant/dirigeant de la CNT et de la FAI, fera partie des Trentistes (scissionnaires de la CNT ensuite réintégré en mai 36), "ministre anarchiste" du gouvernement Caballero. (Vernon R., 1997, p41)
- Garcia Olivier, membre influant/dirigeant de la CNT et de la FAI, "ministre anarchiste" du Gouvernement Central.
Politique internationale pendant la guerre civile[edit]
- Non intervention des démocraties
- intervention Italienne et Allemande (pas au début)
Guerre[edit]
aspect territoriale, l'évolution du front, les batailles, l'action des milices, leur composition...
L'insurrection nationaliste (du 11 au 18 juillet 1936)[edit]
- 11 juillet 1936, soulèvement phalangiste.
- un groupe phalangiste prend la station radio de Valence et diffuse le message: "Ici Radio Valence! La Phalange espagnole a occupé la station par la force armée. Demain, la même chose arrivera aux autres stations de radio espagnoles." (Vernon R., 1997, p43)
- Le Premier ministre Caseres Quiroga ne fait rien: " Vous voulez dire par là que vous êtes sûres que les militaies se soulèvent. Très bien, de mon côté, je vais me coucher.". (Vernon R., 1997, p43)
- 17 juillet, début de l'attaque.
- Au Maroc, l'armé prend les points stratégiques et massacre les militants ouvriers et personnalités de gauche.
- 18 juillet, Séville est aux mains des phalangistes.
Contre offensive populaire (du 18 au .. juillet 1936)[edit]
Dans les premiers jours de la lutte, les ouvriers combattent héroïquement, sans équipement, contre des militaires à la tactique élaborée, triomphant sur les 2/3 de la péninsule espagnole.
- 18 juillet
- la nuit du 18, la CNT appel à la grève générale révolutionnaire et invite tous les comités à se tenir prêt. Le Comité national envoie des délégués aux Comités régionaux avec des instructions.
- 19 juillet
- A Barcelone, des soldats de la garnison prennent les bâtiments stratégiques et le centre ville. Les travailleurs de la CNT et des Gardes d'assaut et Gardes civils (ennemis des anarchistes en temps ordinaire), qui n'avaient pas suivi l'insurrection, force le général Goded et ses troupes à se rendre. La CNT et la FAI occupent alors les casernes et distribuent les armes à des groupes de travailleurs qui sont envoyé dans les villages et villes de la région pour prévenir de nouvelles révoltes.
- A Madrid, l'action des cénétiste permet également de reprendre la ville.
- A Valence, la caserne est assiégée pendant 15 jours par les travailleurs avant que l'armée n'ai put prendre les point stratégique de la ville. Le gouvernement refuse d'armer la population, et la caserne n'est prise qu'après l'arrivée de l'aide des autres villes.
- Aux Asturie, la rébellion et contenue au prix de lourdes pertes à cause de l'indécision du Front Populaire.
- A Saragosse, les 30 000 travailleur de la CNT et de l'UGT, malgré leur nombre, ne furent pas en mesure de contenir l'insurrection de toutes les garnisons de la ville, à cause du manque d'armes de la force militaire conséquente qu'il affrontait.
- Les généraux coordonnent leurs forces dans les zones conquises: Séville, Cadix, Algésiras, Jerez...
A découper(1936-1939)[edit]
Utopie en action[edit]
La défaite de l'armée dans les premiers jours de la guerre et le choix de la lutte malgré les décisions du gouvernement changea la situation des travailleurs. Ils n'était plus dépendant de leurs chefs et à leur service, mais des êtres humains libre, possédant tous les moyens de production.
La réforme agraire et la collectivisation des terres[edit]
L'autogestion des usines[edit]
- Dès le début de la révolution, les ouvrier occupe les usines dans les zones industrielles et les adaptent à la production de tanks et de diverses armes.
La distribution de la nourriture[edit]
- Dans les grandes villes, la distribution des vivre est assuré par les organisations ouvrières.
Les femmes libres[edit]
les services publics[edit]
- Les services publics sint réorganisé sous le contrôle des travailleurs dans les grandes villes.
La nuevela escula, la nouvelle école[edit]
L'organisation pour la santé[edit]
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Bibliographie[edit]
- GIMENEZ, Antoine (2006) Souvenirs de la Guerre d’Espagne. Montreuil : L’Insomniaque éditeur.