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:    - Total des LH                          = 101000 LH
 
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:    - Unitées produites durant la periode de travail = 100
 
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:Dividing the total number of LH, spent in the process of production, and the total of units produced in that time of work which could be daily, monthly, or yearly, we would have an average of labor value for unit produced of 1.010 of LH or of labor-money.
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:La division de tout le nombre de LH, dépensé au cours de la production, et du total d'unités produites durant ce temps de travail, qui pourrait être quotidien, mensuel, ou annuel, nous aurions une moyenne de valeur de travail par unité produite de 1010 de LH ou de travail-salarié.
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*Now then, as no money could be absolutely stable, since if the productivity of the labor  increases, due to improvements in machines, education of the workers and more efficient methods, it would result that the LH will end up having less value of exchange, increasing its value of use, driving this economic process toward an economy of abundance where, overcoming venal value, the value of use would only remain. Consequently, having reached this stage in the economy and technology, with most of the work automated, the value of the produced goods wouldn't be based much on living labor, but almost everything would be labor of the past (accumulated capital), which would determine thereby a self-regulated production of abundance. Then the wonderful time will have arrived of overcoming finally both money and the commodity, each man receiving according to his necessity, although he only contributes according to his unequal capacity, or in other words, that it would make possible the economic equality between the men: libertarian communism, rationally and scientifically, economically possible, without which it must considered as a beautiful utopia.
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*Eh bien, car aucun argent ne pourrait être absolument stable, depuis si la productivité de travail augmente, dûes aux améliorations des machines, de l'éducation des ouvriers et des méthodes plus efficaces, il résulterait que la LH finira par avoir moins de valeur d'échange, augmentant sa valeur d'utilisation, conduisant ce processus économique vers une économie de l'abondance où, surmontant la valeur vénale, la valeur de l'utilisation seulement demeurerait. En conséquence, après avoir atteint cette étape dans l'économie et la technologie, avec la majeure partie du travail automatisé, la valeur des marchandises produites ne serait pas basée beaucoup sur le travail vivant, mais presque tout serait le travail du passé (capital accumulé), qui déterminerait de ce fait une production autogéré de l'abondance. Alors le temps merveilleux sera arrivé de surmonter finalement l'argent et le produit, chaque homme recevant selon sa nécessité, bien qu'il contribue seulement selon sa capacité inégale, ou en d'autres termes, cela rendrait l'égalité économique entre les hommes possible : communisme libertaire, rationnellement et scientifiquement, économiquement possible, sans lequel il doit considéré comme belle utopie.
 
*Only a self-managed economy, rational and objective, based on scientific laws, from the commencement of the establishment of libertarian socialism, avoiding the fall into one phase or another, into either the socialism of group property, into forms of corporatism or of narrow syndicalism, but towards a condition of always placing the general interest above the particular interest of the professional or work groups
 
*Only a self-managed economy, rational and objective, based on scientific laws, from the commencement of the establishment of libertarian socialism, avoiding the fall into one phase or another, into either the socialism of group property, into forms of corporatism or of narrow syndicalism, but towards a condition of always placing the general interest above the particular interest of the professional or work groups
 
*In this order of ideas, explains Kropotkin, the private ownership the capital and of the earth are attributes of capitalism. Those conditions were consistent with the bourgeoisie as a dominant class, although the public [state] ownership of capital and of the earth is consistent with the capitalism of the soviet-State, which elevates the totalitarian bureaucracy as a new dominant class.
 
*In this order of ideas, explains Kropotkin, the private ownership the capital and of the earth are attributes of capitalism. Those conditions were consistent with the bourgeoisie as a dominant class, although the public [state] ownership of capital and of the earth is consistent with the capitalism of the soviet-State, which elevates the totalitarian bureaucracy as a new dominant class.

Revision as of 08:58, 1 November 2006

Libéralisme autoritaire

http://www.monde-diplomatique.fr/1997/02/CHUNG/7807.html http://doc-iep.univ-lyon2.fr/Ressources/Bases/Fripes/article.html?ID=40345 http://doc-iep.univ-lyon2.fr/Ressources/Bases/Fripes/article.html?ID=717 http://doc-iep.univ-lyon2.fr/Ressources/Bases/Fripes/article.html?ID=42418 http://www.monde-diplomatique.fr/2000/08/MARCOS/14136.html http://partitions.levillage.org/breve.php3?id_breve=81 http://www.alire.com/Romans/BiendesautresExtrait.html

  • "L’article de Marcuse intitulé « Le libéralisme dans la conception totalitaire de l’Etat » établit un lien dialectique selon lequel le totalitarisme continue le libéralisme, et y réagit par l’héroïsme et la célébration de la nature. Dans « L’Etat autoritaire » (1942), Horkheimer met en évidence le passage, qui fait advenir à partir du libéralisme un nouvel ordre économique, social et politique, l’étatisme intégral, qui désigne le capitalisme d’Etat mais aussi le socialisme d’Etat. La relation entre l’ordre libéral et ce nouvel ordre autoritaire (« Le capitalisme d’Etat est l’Etat autoritaire du présent ») est double et dialectique : l’ordre autoritaire émerge de tendances contenues dans l’ordre libéral, il en constitue un prolongement mais il s’oppose également à cet ordre. Un tel passage désigne l’avènement d’une forme nouvelle de domination où les médiations économiques à l’œuvre dans l’économie de marché, les médiations politiques et juridiques, sont abolies dans le capitalisme d’Etat. Horkheimer caractérise les tendances à l’étatisme intégral en termes de développement vers le monde administré. L’Etat autoritaire est une structure commune à deux figures historiques, le capitalisme de monopoles (le nazisme) et l’étatisme intégral (le stalinisme)." libéralisme et autoritarisme
  • " Tel est la cas de l’étude de Tak-Wing Ngo (« Valeurs sociétales et politique consensuelle dans le Hong Kong colonial »). Pour lui, le régime politique de l’ancienne colonie est une sorte de libéralisme autoritaire (liberal authoritarianism) ou d’autoritarisme pluraliste (pluralistic authoritarianism). D’un côté « pas d’élection ou de suffrage universel jusqu’en 1982, pas de partis politiques jusque dans les années 1990 », de l’autre « aucun manque repérable en matière de défense des groupes d’intérêt, de mouvements sociaux ou de lobbying » (p. 131)." libéralisme autoritaire à Hong kong
  • "Le libéralisme autoritaire croît aux valeurs du marché (mise en concurrence, recherche exclusive du profit) pour réguler l’économie, structurer la société et donner un idéal de vie aux individus. Il considère que ceux qui ne s’en sortent pas (entreprises, groupes sociaux, territoires, pays, individus) méritent leur condition, les règles du jeu étant (soi-disant) les mêmes pour tous." Le libéralisme autoritaire de N. Sarkozy.
  • " L'étude de la version fasciste de l'idéologie bourgeoise est très instructive à cet égard. Dans son analyse de la philosophie politique qui accompagne, en Allemagne, la construction de l'État totalitaire, Marcuse démontre comment «des éléments fondamentaux (de cette philosophie) sont prélevés dans l'interprétation libérale, puis réinterprétés et développés en fonction des conditions économiques et sociales modifiées... les deux points de départ les plus importants que la nouvelle théorie de l'État et de la société trouve dans le libéralisme (étant) : l'interprétation naturaliste de la société et le rationalisme libéral débouchant sur l'irrationalisme» (Note 11). Dans la version fasciste du libéralisme, l'individu s'abolit dans le tout conçu comme «race», «peuple», «pensée nationale», «terre et sang», «communauté de destin» et incarné par l'État totalitaire qui devient «le représentant des possibilités propres de l'être-là » (Note 12). Y sont renversés les principes libéraux de la séparation de l'État et de la société, de la séparation et de la distinction entre la nature et l'économie ; la rationalité, la liberté, la responsabilité des individus se trouvent sublimés dans l'omnipotence et l'omniscience de l'État. Pourtant, comme le souligne Marcuse, « si l'État autoritaire total donne à son combat contre le libéralisme l'aspect d'une lutte entre « conceptions du monde », en laissant de côté la structure sociale fondamentale du libéralisme c'est parce qu'il est au fond largement d'accord avec cette structure de base... (qui) repose sur une organisation économique privée de la société » (Note 13)" "Classes et pouvoir. Les théories fonctionnalistes. (1978)" Nicole Laurin-Frenette
  • "Marcuse had already argued in his 1934 essay, “The Struggle Against Liberalism in the Totalitarian View of the State,” that National Socialism had liquidated the liberal-democratic political principles of the Weimar republic, while at the same time consolidating the monopolistic forms of capital accumulation that had made great strides in Germany in the twenties. In “State and Individual under National Socialism” he makes a similar argument, although he places greater emphasis on the achievements of Weimar. In his view, the Nazi regime allowed German industry to cast off the fetters imposed upon it by the Weimar republic, and thus cleared the way for imperialist expansion in the East. He also focuses – clearly demonstrating the influence of Neumann’s Behemoth – on the abolition of the Weimar Rechtsstaat and the dissolution of universalist law, which placed German society under the direct control of particularistic groups, such as big industry, the Nazi party, and the Wehrmacht. In other words, Marcuse tried to convince his American audience that fascism was not the complete antithesis of their own society – it was not a monolithic state and it brought to fruition certain tendencies operative in all capitalist economies – while at the same time reminding them that the universalist political principles they were defending were far more than metaphysical abstractions." Review of : "Herbert Marcuse: Technology, War and Fascism"

Étatisme libéral - libéral étatiste - État libéral - libéralisme étatiste...

Libéralisme autoritaire - Libéralisme totalitaire

fascisme économique - Fascisme libéral

(28 mars 1936, Les pacifistes et la guerre) Réveil anarchiste. "Cela découle du régime capitaliste, qui se sentant frappé, impuissant, menacé, cherche à se sauver par tous les moyens, même les pires comme le fascisme et la guerre, qui peuvent l'acculer à une situation désespérée."

  • http://www.marxists.org/francais/bordiga/works/1921/11/bordiga_fascisme.htm : "Quelle conclusion tirer du mélange informe d'anti-cléricalisme franc-maçon et de religiosité militante, de libéralisme économique et d'anti-libéralisme politique, grâce auquel le fascisme tente de se distinguer à la fois du programme du parti populaire et du collectivisme communiste?"
  • http://troploin0.free.fr/biblio/insur_fr/page2.htm : "Le fascisme pourrait être demain notre châtiment si nous laissons passer l’heure du socialisme." "Ils (les possédants) recourent à la solution fasciste moins pour se protéger contre les troubles de la rue que contre les troubles de leur propre système économique. " "Tout l’art du fascisme consiste à se dire anticapitaliste sans s’attaquer sérieusement au capitalisme."

Autonomie et hétéronomie

abraham guillén

  • idées économie

http://www.spunk.org/library/pubs/llr/sp000367.txt

  • The principles of libertarian economy were put into practice-- more by intuition than by design, without grand theories--by the libertarian collectives in Spain during the revolution of 1936-39.
  • an economy inspired by federalist principles and self-managed, with a self-managed market, could work well and avoid the central - planning which always leads to the totalitarian, bureaucratic State, owner of each and everything.
  • all the self-regulating objective economic laws, although the most important of these, the law of labor value, self-regulates the exchange of goods and services at their just value in order to fullfill the others: the law of economic equity; the law of cooperation, between the distinct integrated federations of the libertarian economy; the law of exchange equivalence. In a market liberated from the capitalists and the opprobrious tutelage of the State, they will self-regulate, almost cybernetically, the economic processes of production, exchange, distribution and consumption.
  • In our epoch the exhaustion of statist politics emerges; so it is with the social-semocratic regimes under the control of the parasitical middle classes (in the west); so it is with the totalitarian bureaucracies of the one-Party and State-employer; whether under the parliamentary welfare-State (in the West), or the total State (in the East) and of failed nazi-fascism, the people have understood that they must organize themselves into industrial democracy (self-managed enterprises) and into federated self-government (direct democracy), overthrowing the economic power of the industrial, mercantile and financial bourgeoisie, and the political power of the radical, social-democratic, christian democratic, socialist and neo-liberal petty bourgeoisie who, with their various parties, take turns in Power
  • Marxism and keynesianism have contributed equally to the development of statist economics ; so it is with the marxist-leninists and petty-bourgeois socialists; so it is with the technocrats and bureaucrats of every type, partisans of managed economies with the goal of controlling the national economies and the organs of the world economy, imperialist or hegemonist, like the IMF, the BIRF, the GATT, the U.N. Security Council, instruments of the "new world order" of ex-president Bush.
  • there comes a moment in which the libertarian economy makes it scientifically possible as the best possible administration of economic matters creating thus the conditions to abolish the State, oppressor and exploiter of men, converting to decentralized self-government. In this manner an economic federalism (production of goods and service) and an administrative federalism: one, as the self-management of workplaces; the other, as local, regional and national self-government, creates a Self-power of direct participation of people organized in their own interest; not requiring, therefore, a political governing class, nor a bourgeoisie nor techno-bureaucracy, managing industry in order to usurp the economic surplus produced by the labor of others without paying, usurping by surplus-value for the bourgeoisie of the State-owner, now failing in Russia and China
  • Accordingly as worker productivity increases, everyone working scientifically, it will be possible to attain very soon, a working day, half productive and half educational, with the goal of giving everyone equal time for labor and studies, equal scientific, technical and cultural preparation. In this way, all will be capable of doing all, and with the help of the computer revolution, to abolish the traditional division of labor, so that the revolution is not overcome by classes or social estates from dividing labor into manual or intellectual.
  • the integral assimilation of the computer revolution in order to liberate (painful) manual labor from material production; since the automation of labor, plus self-management of social capital at the same time, will create all the technical, economic, cultural and scientific conditions to attain a harmonious society, without social conflicts nor economioc contradictions; then self-management plus automation equals libertarian communism.
  • But prior to attaining the "golden age" of self-government, of eqaulity in education and social conditions for all, where each receives according to their needs and the economic possiblities of society, transcending social heirarchies and the antagonism between wage labor and private or State capital, it will be necessary to transcend political economy as a science of administration of scarce resources and distribution of goods and services according to quantity and quality of labor, abolishing at the same time the division of labor into professions or corporations, by virtue of which some consume more than others, using money and unequal incomes in order to perpetuate the inequality among people.
  • In this order of ideas, libertarian communism, for humanity to attain an economy of abundance, a high productivity of automated labor will have to go beyond the law of exchange value, wages, money, merchandise, unequal incomes, the State in order to impose a unequal division by classes; the political parties and the ideologies peculiar to the political alienation of a competitive society, the division of labor between managers and subordinates
  • The libertarian economy, initially, as happened in Spain during the Revolution of 1936-39, the "praxis" set itself problems that had to be the resolved, totally or partially, by bypassing political ideology, creating libertarian collectives, enterprises managed directly by workers without techno-bureaucratic directors; but having to demonstrate by means of self-organized labor that the forces of production would not be wasted. Seeing in practice the human, solidaric and productive labor advantages of the the libertarian collectives, the small private property owners associated with them voluntarily

http://www.spunk.org/library/pubs/llr/sp000368.txt

  • Now then, a libertarian economy of the self-managed type has to be capable of producing an economic surplus greater than under private or state capitalism; of converting a large part of this surplus to the reproduction of social capital, improving the productivity of labor. Therefore the workers will achieve a higher rate of growth in productive forces than private or state capitalism. There will be, thus, better and greater production with less expense of human effort and greater and better use of automated machinery. This is because only the automation of labor makes it possible to create the technical basis for libertarian communism.
  • Without debureaucratization and debourgeoisfication there is no way out of the growing economic and social crisis which is caused by the excessive economic waste involved in the sterile consumption of the parasitic classes
  • By means of centralized bureaucratic planning of their economies, all social capital, labor, national income and economic power is placed in the hands of a techno-bureaucracy of planning, for whom workers and their products are only ciphers in five-year plans. In this way they create social relations between those who have Power and those who suffer as wage workers not essentially different than those existing in the capitalist countries.
  • In our epoch computer networks--if they are well programmed, if their memory is updated and constantly renewed, if they register all the fundamental data of a country, a society, an enterprise, a locality, district and region--are more efficient and cheaper for the management of the enterprise or society than the professional politicians or technocrats and bureaucrats of all types.
  • In our school of thought, economic growth, the right of work for all, economic, cultural and technological progress, are developed with fewer obstacles in a libertarian society than in a society under the totalitarian dictatorship of large capitalist monopolies or the capitalism of the State. In both cases, given the great progress realized by our society, the dictatorships of private capital or State capital can be overcome. A self-managed society can be established with social ownership of the means of production and exchange, uniting capital, labor and technology without antagonism over classes or forms of property. This would create an egalitarian society in culture, economics and technology, thanks to an economy of abundance.
  • It is possible to the give power of self-government to the local communities, districts, provinces and regions, by means of an economic federalism and self-administration which would be integrated into a Supreme Economic Council. This would not be a Gosplan as in the former USSR, but a co-government of things by means of federations of production and services. These federations would function democratically and be self-managed, with the goal of the total process having a law of harmony of development without economic crises of disproportionality between all the branches of production and services. In other words, they would function without relative crises of underproduction or overproduction as occurs, respectively, under State capitalism or private capitalism.
  • it is necessary to have democracy and economic growth, with an increased productivity of labor. This would also require the full employment of the active population, along with the full participation of all in the decisions and the knowledge for this within reach of everyone. It is necessary to create a libertarian society, in which the elites of power and knowledge and social estates of every type, would be transcended in work, science, capital and technology, by means of effective self-management, the real participation of the people.
  • It is necessary, therefore, to liberate oneself ideologically from parliamentary socialism, from totalitarian communism, from bourgeois democracy which is economic dictatorship, from corporatism of every type--and establishing in their place a democracy of association, self-managed and libertarian, where everyone would be equal in rights and responsibilities, with privileges for no one.
  • The planning of economic, cultural and technological development must arise from the putting of social wealth in common ... involves a program of harmonizing the proportion of growth of the branches of production and services with full participation from bottom to top, based on a libertarian and federative socialism.
  • Emancipation can not be won individually but only collectively, although each may have free will. The realization of full liberty and personality for the worker requires a self-organized society without the need for State oppression, whether it is called right or left, bourgeois or bureaucratic, conservative or revolutionary. Without self-managed socialism, social property and self-government, all systems are the same.
  • The salvation of humanity is collective and not individual, because the human is a social being, solidaric, with the aim of self-defense from other species since the paleolithic period
  • It is the class division of humanity, in the wake of private property and the State, which makes possible the exploitation of man by man, of the proletarian by the proprietor.
  • The human being, in reality, does not exist outside the society from which he/she has appeared as a free subject; but at the same time solidarity with others in daily life, at work, in education, in self-defense, particularly at the beginning of humanity, "mutual aid" was the basis of existence of man associated to man, even though under capitalism man is possessed by an appetite for wealth and the cult of the money-god.
  • By means of this federalism based upon libertarian socialism, the economy, the natural and human resources, the balance of natural ecosystems, the full employment of available labor, the leisure and education time at all levels of knowledge, the social-economic and cultural life of locality, district, province, region, nation or the world, can be programmed with the participation of everyone in everything, without creating a great deal of confusion.
  • A social-economic program, with continual popular participation (not indirectly through municipal, regional or national elections), must be by the means of federations in industry, agriculture, and services, integrated into a Federative Council of the Economy, in which all the federations producing goods and services must be represented. By way of example, this "Federative Council of the Economy" would have to integrate, among others, the following federations: Fruits and horticultural products; Cereals; Feed for livestock; Food industry, including imports; Hostelry and Tourism; Wine, beer, and alcoholic beverages; Oils and greases from vegetable and animals; Fishing: boats and canning; Textiles; Furs and leather; Timber and cork; Paper and graphic arts; Chemicals; Construction; Glass and ceramics; Metal machining; Steel; Non-ferrous minerals: metals and alloys; Energy: petroleum, coal, gas, electricity, and atomic energy; Information and the construction of computers, integrated micro-circuits, and semi-conductors; Electronics: numerical controlled machines; Biotechnology; Aero-space; Research and Development, uniting technology with work.

http://www.spunk.org/library/pubs/llr/sp000369.txt

  • A self-managed economy will have to rationally organize the branches of industry and, within each one, integrate the small and medium enterprises with the big enterprises to constitute a unified whole.
  • The self-managed economy will have to invest a good portion of the national income in the production of both consumer and capital goods, particularly in its first years of operation, so that the productivity of the labor is increased to unprecedented levels. In this order of ideas, economic growth, with libertarian socialism, would be greater than with private capitalism or State capitalism, since the surplus-value wasted on the parasitic classes under capitalism would be invested instead.
  • By means of the application of information and of computer networks, well supplied with all types of data, the Federative Council of the Economy would have the actual information for each branch of production or of services. Therefore, the economic integration of branches of production and of service would be a positive science, which would know everything necessary in order to avoid crisis of disproportional of growth in those branches, without the production of excesses of personal, of goods not sold, or of raw materials, since it would be known, at each moment, the

amount necessary to produce, to distribute or invest so that the social economy has a law of harmonious development.

  • For example, the central computers of the Federative Council of Economy, with informative contributions of the computer terminals in local factories, provincial and regional, would make known what was everyone's production, reserves and shipments to the self-managed market.
  • In the case of the industry for manufacturing of paper containers, the central computer would register the number of establishments, the personnel employed in each one of them, total of work-hours, cost of the personnel in stable monetary units, electric power consumed in the process of production, value of the fuels and gas used, value of the consumed raw materials, general expenses, taxes, value of the total production, value of the employed labor, amounts destined to pay debts and for new investments. In sum: programming the economy would be simple, without need of bureaucrats, of capitalist managers or of technocrats.
  • When we speak of taxes we don't refer to the tribute of the western capitalist type nor to the business taxes (mainly figured as a business expense usurped from the enterprises by the State in the USSR and in the "popular republics that made up the COMECON), but to the delivery of a pre-determined quota of the economic surplus, extracted by the self-managed enterprises, transferred to the self-governments, responsible for returning those transfers to society in social and public services according to their ability: sanitation, hygiene, paving of streets, highways, roads, ports, railroads, education, public health and other responsibilities of the self-governments which would be too great to enumerate.
  • In this case we would attempt to strengthen the economy of the free self-managed municipality, not in the traditionally Roman 'state-citizen' nor modern bureaucratic sense, but as the social and public enterprise of the citizens; as well as the industrial, agricultural, of research enterprise or certain global services which would constitute the task of the associated workers with their means of production, self-organized into Worker Councils of Self-Management and in Basic Units of Associated Labor, where the economic accounting should be automated by means of computers and take as their unit of calculation, the labor-hour (LH).
  • It would have thus a monetary equivalence of the same value, if the money is intended to remain stable. The LH would circulate monetarily in the form of ticket which would give the right to consume reasonably, always leaving an important portion in order to invest more capital than wornout during a year, so that libertarian socialism would enlarge the social capital, with the goal of progressing more with self-management than under the dominance of capitalists or of bureaucrats.
  • Every project of investment would be calculated in hours of labor (LH), as well as in terms of personal and public consumption required.
  • a part of the global economic surplus would be invested in achieving a greater automation of industrial production and of agricultural production. It would thus be possible to continue reducing the working day to a range which would allow a more leisure time, so that all the citizens could occupy their time in more relaxation and, above all, in better scientific, cultural and technological preparation
  • The LH, as labor-money and as a quantification of the economy, having a stable monetary value would program the economy: to account it; to establish the costs of the goods and services; programming the integrated branches of the division of the labor and correct disharmonies between them; quantifying in the products the cost of raw, energy, amortization of the capital, value of the work, economic contributions to the local self-governments and to the national co-government, etc. All of this would function within a libertarian socialism of a self-managed market, without speculators, hoarders or merchants, in order that competition benefit the workers and the consumers, the cooperative groups and self-managed enterprises, in the manner similar to the way the market functioned in the Spanish libertarian collectives during the Spanish Revolution of 1936-39.
  • In a libertarian economy, labor-money wouldn't be money in the capitalist sense such as we understand it and need it today, since it wouldn't allow the individual accumulation of capital in order to exploit the labor of other people and obtain a surplus value.
  • Rather it would be intended to facilitate the exchange of goods and service, in a self-managed market, where these exchange at their true labor value, so that it fulfill economically the law of equal exchange in equality of condition for all the integrated branches of the social division of the labor and the law of the cooperation of those same branches or federations of production and of service.
  • If the LH, the unit of labor-money, would have, for example, an purchasing power of 1 hour of average social-labor and this were equivalent, roughly speaking, to one dollar, one could establish, among others, the following calculation of economic-accounts:
Calculation in (LH) of an Industrial Enterprise
- Costs of machinery = dol 1000 = 1000 LH
- Raw materials, energy, etc. = dol 50,000 = 50,000 LH
- Hours worked in production = 50,000 LH
- Total of LH = 101,000 LH
- Units produced during the period of work = 100
Dividing the total number of LH, spent in the process of production, and the total of units produced in that time of work which could be daily, monthly, or yearly, we would have an average of labor value for unit produced of 1.010 of LH or of labor-money.
  • Now then, as no money could be absolutely stable, since if the productivity of the labor increases, due to improvements in machines, education of the workers and more efficient methods, it would result that the LH will end up having less value of exchange, increasing its value of use, driving this economic process toward an economy of abundance where, overcoming venal value, the value of use would only remain. Consequently, having reached this stage in the economy and technology, with most of the work automated, the value of the produced goods wouldn't be based much on living labor, but almost everything would be labor of the past (accumulated capital), which would determine thereby a self-regulated production of abundance. Then the wonderful time will have arrived of overcoming finally both money and the commodity, each man receiving according to his necessity, although he only contributes according to his unequal capacity, or in other words, that it would make possible the economic equality between the men: libertarian communism, rationally and scientifically, economically possible, without which it must considered as a beautiful utopia.
  • Only a self-managed economy, rational and objective, based on scientific laws, from the commencement of the establishment of libertarian socialism, avoiding the fall into one phase or another, into either the socialism of group property, into forms of corporatism or of narrow syndicalism, but towards a condition of always placing the general interest above the particular interest of the professional or work groups
  • In this order of ideas, explains Kropotkin, the private ownership the capital and of the earth are attributes of capitalism. Those conditions were consistent with the bourgeoisie as a dominant class, although the public [state] ownership of capital and of the earth is consistent with the capitalism of the soviet-State, which elevates the totalitarian bureaucracy as a new dominant class.
  • But a new economic system, based on self-managed socialism, will have to have another way of estimating the annual economic growth on the basis of short, medium and long term plans, constructing a macro-economic picture of the national and social economy, departing from the known figures and projecting toward figures to be attained in the next trimesters, semesters, years.

Thus the future, in certain manner, will be anticipated by having a Federative Council of the Economy, where each federation of production or of services knows that which it has and that which it wants, in accordance with the effective demand of the self-managed market.

  • Libertarian socialism, if it wants to distinguish itself from authoritarian soviet communism, must respect the law of the supply and demand, without falling into bourgeois liberalism, since in the self-managed market the federations of production and of social and public services act competitively.
  • Because if the market is suppressed, and with it the law of labor-value, the law of economic competition, the law of formation of just prices in the market, it would not be possible establish a rational economy of costs and prices, necessary investments and appropriate consumption.
  • People would be self-organized in their own interest in self-managed enterprises, mutual cooperatives, local self-governments and all types of socio-economic and political forms of direct participation. Politics would be deprofessionalized, abolishing the political class and the political parties as expression of antagonistic interests, since each citizen or worker will participate in their enterprise, local self-government, federation, daily, without falling into the trap of electoralism, where they only participate for a day to elect a government worse than another.
  • Libertarian socialism, creating a social economy based on truthful figures, would have to estimate the GNP in a different manner than the capitalists. It is necessary to give to the concept of social income, units which are measured or concrete and in constant money based on material output: agriculture, cattle raising, forests, fishing, energy, mining, industry, or whatever is actual production. As for the "services", only transportation, railroads, trucking, marine and air would be included in the concrete estimate of the effective or material income, since although transportation doesn't add production, it transports it from one side to another and, in consequence, it should be included in the concrete income of one year to another.
  • Adding the concrete income alongside gross income (administrative "services", commerce, banks and other social and public services), it would be seen if these take too great a percentage in the total income by having too many unproductive personal who, in order to not drain the social economy, would have to be recycled as productive personnel. Now then, in the "services" which could be considered as productive, would be included the personnel destined for Research and Development (R &D), without whose presence an economy will stagnate for lack of economic and technological progress; but the personnel of R&D should be, besides in the Institutes or Centers (which tend to be bureaucratic and technocratic), directly in the industrial enterprises, agricultural, energy, forests, mining, fishing, etc.
  • In sum, the net income of a country would have to be estimated, in a libertarian socialism, at costs determined in relatively stable physical and monetary units which don't mislead, deducting the necessary investments of social capital in order to enlarge production
  • In sum, the libertarian economy should liberate the worker from their old employers, either private managers or from the State as Manager, to end that the workers, by means of their Self-Management Enterprise Councils, direct the economy which they create with their labor upon the means of production associated, from the bottom up, by means of the federations of production and of social services composed in a Federative Council of the Economy; only thus could there be planning and liberty, an associative democracy of full participation of the working people, a self-managed socialist society
  • Without economic liberty there can't be political liberty; since with capitalism there is an economic dictatorship of a plutocratic minority over the majority of working people; and with capitalism of the State, in the soviet manner, the State exploits and oppresses Society by means of the one-Party which is a bad one for the majority and a good one for the bureaucratic, oppressive and exploitive minority. The solution is: neither totalitarian communism nor capitalism but self-management, direct democracy, federalism and socialism.

plan

- Analyse économique est/ouest. capitalisme privée et capitalisme d'État (lili - coco), keynesianisme, etc
- nécéssité d'organiser l'autogestion

[2]

  • l'économie libertaire ont eus étés pratiqués en espagne 36-39 dans les collectivitées.
  • économie inspiré par l'autogestion et le fédéralisme. avec un marché auto-géré.
  • la loi de la valeur du travail auto régule les échanges de bien et de services à leur juste valeur. Équité économique, coopération entre des distinctes féderations, équivalence des échanges... Un marché libéré des capitalistes et de l'État.
  • parasitisme des gérants du capitalisme (privée, ou d'État). les gens doivent s'organiser par eux mêmes dans une démocratie directe et par autogestion de l'entreprise. Ceci pour jeter le pouvoir économique de l'industrie, mercantile et de la bourgoisie financiére, et le pouvoir politique des radicals, social-democratie, democratie chrétienne, socialiste et de la neo-liberale petite bourgeoisie.
  • Marxisme et keynesianisme contribuent au dévellopement de l'économie étatique. les technocrates et bureaucrates partisans de l'économie managé avec le but le controle de l'économie nationale et mondiale, les organes impérialistes et hegemonistes tel l' IMF, la BIRF, le GATT, le conseil de sécurité de l'ONU.
  • c'est le meilleur moment où l'économie libertaire est possible par la science, permettant d'abolir l'État et créant un auto-gouvernement décentralisé. fédéralisme économique (autogestion du lieu de travail) et administratif (local, regional et national auto-gouvernement), participation directe de gens organisés pour leur intérete et sans intermédiaire.
  • par l'accroissement de la productivité, tlm travaillant scientifiquement,il sera possible une journée de travail avec mitemps-productif et mitemps-éducatif. le but est de permettre à tout le monde d'être polyvalent, et ceci avec l'aide de la révolution informatique afin d'abolir la traditionnelle division du travail (intellectuel et manuel).
  • la révolution informatique doit libérer le travail manuel de la production matérielle. l'autogestion et l'automation, qui résume le communisme libertaire, créera toutes les conditions techniques, économiques, culturelles et scientifiques pour atteindre une société harmonieuse sans conflits sociaux, ni contradictions économiques.
  • pour arriver à une société auto-géré, d'égalité dans l'education et dans les conditions sociales pour tous, où chacun recoit selon ses besoins et selon les possibilitées de la société, il sera nécessaire de transcender l'économie politique comme une science de l'administration des ressources rares et de la distribution des biens et services selon la quantité et la qualité du travail, abolissant en même temps la division du travail dans les professions ou les corporations, en vertu de ce que certains consomment plus que d'autres, en utilisant l'argent et des revenus inégaux afin de perpétuer l'inégalité parmi des personnes .
  • le communisme libertaire pour l'humanité pour atteindre une économie d'abondance, par un haut niveau de productivité par le travail automatisé, aura à dépasser la loi de la valeur d'échange, salaires, argent, marchandises, revenus inégaux, l'État...
  • La "praxis" régle les problemes qui avaient à être résolus, totalement ou partiellement, en dépassant les idéologies politiques, creant des collectivités libertaires, des enterprises autogéré; devant l'avantage (productivité) que comporte le travail collectif et solidaire, des petits propriétaires privés se sont associés volontairement aux collectivités espagnoles

[3]

  • maintenant, une économie libertaire autogéré est capable de produire un surplus économique plus grand que dans le capitalisme d'État ou privé. Et de reproduire une grande part de ce surplus en capital social, par l'amélioration de la productivité du travail. Par conséquent les ouvriers réaliseront un taux de croissance plus élevé des forces productives (avec moins d'éfforts humains, par l'automation) que le capitalisme d'Etat ou privé.
  • Sans la débureaucratisation et la débourgeoisification pas de possibilité de grandir économiquement et socialement, crise causé par la consommation stérile de ces classes parasites.
  • Au moyen de la planification bureaucratique centralisée de leurs économies, tous le capital social, le travail, le revenu national et la puissance économique est confié à une techno-bureaucratie de la planification, pour qui les ouvriers et leurs produits sont seulement des chiffres dans des plans quinquennaux. De cette façon, ils créent des relations sociales entre ceux qui ont le pouvoir et ceux qui souffrent comme les ouvriers salariés, ce qui n'est pas essentiellement différent que ceus existant dans les pays de capitalisme privée.
  • Dans nos époques, les réseaux informatiques --s'ils sont bien programmés, si leur mémoire est mise à jour et constamment remplacée, s'ils enregistrent toutes données fondamentales d'un pays, d'une société, d'une entreprise, d'une localité, de zone et de région-- sont plus efficace et meilleur marché pour la gestion de l'entreprise ou la société que les politiciens ou les technocrates et les bureaucrates professionnels de tous les types.
  • À notre école de pensée, la croissance économique, le droit au travail pour tous, le progrès économiques, culturels et technologiques, sont développées avec peu d'obstacles dans une société libertaire que dans une société sous une dictature totalitaire de grands monopoles capitaliste ou de capitalisme d'état. Dans les deux cas, donnés le grand progrès réalisé par notre société, les dictatures du capital privé ou du capital d'état peut être surmonté. Une société individu-contrôlée peut être établie avec la propriété sociale des moyens de production et le capital d'échange, d'union, le travail et la technologie sans classes finies d'antagonisme ou des formes de propriété. Ceci créerait une société égalitaire dans la culture, les sciences économiques et la technologie, grâce à une économie de l'abondance.
  • Il est possible de donner le pouvoir d'autonomie aux communautés locales, zones, provinces et régions, au moyen d'un fédéralisme économique et d'une autogestion qui seraient intégrés dans un conseil économique suprême. Ce ne serait pas un Gosplan comme en ancienne URSS, mais un Co-gouvernement des choses au moyen de fédérations de production et de services. Ces fédérations fonctionneraient démocratiquement et seraient autogérées, avec le but de tout ce processus ayant une loi d'harmonie des développement sans crises économiques de disproportionality entre toutes branches de production et services. En d'autres termes, elles fonctionneraient sans crises relatives de sous production ou de surproduction comme ça se produit, respectivement, sous le capitalisme d'Etat ou le capitalisme privé.
  • il est nécessaire d'avoir la démocratie et la croissance économique, avec une plus grande productivité de travail. Ceci exigerait également le plein emploi de la population active, avec la pleine participation de tous dans les décisions et la connaissance pour ceci dans le bien de chacun. Il est nécessaire de créer une société libertaire, dans laquelle les élites du pouvoir et de la connaissance et des domaines sociaux de chaque type, seraient dépassés dans le travail, la science, le capital et la technologie, au moyen d'auto-gestion efficace, la vraie participation du peuple.
  • Il est nécessaire, donc, pour se libérer idéologiquement du socialisme parlementaire, du communisme totalitaire, de la démocratie bourgeoise qui est une dictature économique, du corporatisme de chaque type --et établissant dans leur endroit une démocratie d'association, auto-gestion et libertaire, où chacun serait égal dans les droits et les responsabilités, avec des privilèges pour personne.
  • La planification du développement économique, culturel et technologique doit résulter de la mise de la richesse sociale en commun [...] ça implique un programme d'harmonisation de la proportion de croissance des branches de la production et des services de la pleine participation de bas en haut, basés sur un socialisme libertaire et fédératif.
  • L'émancipation ne peut pas être gagnée individuellement mais seulement collectivement, bien que chacun puisse avoir la volonté libre. La réalisation de la pleine liberté et personnalité pour l'ouvrier exige une société auto-organisée sans besoin d'oppression de l'État, qu'elle s'appelle droite ou gauche, bourgeois ou bureaucratique, le conservateur ou le révolutionnaire. Sans socialisme auto-géré, la propriété sociale et l'autonomie, tous les systèmes sont les mêmes.
  • Le salut de l'humanité est collectif et pas individuel, parce que l'humain est un être social, solidaire, dans le but de l'autodéfense contre d'autres espèces depuis la période paleolithique
  • C'est la division en classe de l'humanité, à la suite de propriété privée et de l'État, qui rend l'exploitation de l'homme par l'homme possible, du prolétaire par le propriétaire.
  • L'être humain, en réalité, n'existe pas en dehors de la société de laquelle il/elle est apparu comme sujet libre ; mais en même temps, la solidarité avec d'autres dans la vie quotidienne, au travail, dans l'éducation, dans l'autodéfense, en particulier au début de l'humanité, par l'« aide mutuelle » était le principe de l'existence de l'homme associé à d'autres hommes, quoique sous le capitalisme l'homme est possédé par un appétit pour la richesse et le culte de l'argent-dieu.
  • Au moyen de ce fédéralisme basé sur le socialisme libertaire, l'économie, les ressources naturelles et humaines, l'équilibre des écosystèmes normaux, le plein emploi du travail disponible, les loisirs et le temps d'éducation à tous les niveaux de la connaissance, la vie social-économique et culturelle de la localité, de la zone, de la province, de la région, de la nation ou du monde, peuvent être programmés avec la participation de chacun dans tout, sans créer une grande confusion.
  • Un programme social-économique, avec la participation populaire continuelle (pas indirectement par des élections municipales, régionales ou nationales, comme cela est aujourd'hui), doit être par les moyens des fédérations dans l'industrie, agriculture, et les services, a intégré dans un Conseil fédératif de l'économie, dans laquelle toutes fédérations produisant des marchandises et des services doivent être représentées. À titre d'exemple, ce « Conseil fédératif de l'économie » devrait intégrer, entre autres, les fédérations suivantes : Fruits et produits horticoles ; Céréales ; Alimentation pour le bétail ; L'industrie alimentaire, y compris des importations ; Hôtellerie et tourisme ; Vin, bière, et boissons alcooliques ; Pétroles et graisses de légume et animaux ; Pêche : bateaux et mise en boîte ; Textiles ; Fourrures et cuir ; Bois de construction et liège ; Les industries de papier et graphiques ; Produits chimiques ; Construction ; Verre et céramique ; Usinage en métal ; Acier ; Minerais non ferreux : métaux et alliages ; Énergie : pétrole, charbon, gaz, électricité, et énergie atomique ; L'information et la construction des ordinateurs, des microcircuits intégrés, et des semi-conducteurs ; L'électronique : machines commandées numériques ; Biotechnologie ; Aérospatial ; Recherche et développement, technologie de union avec le travail.

[4]

  • Une économie auto-gérée devra rationnellement organiser les branches de l'industrie et, dans chacune, y intégrer les petites et moyennes entreprises avec les grandes entreprises pour constituer un entier unifié
  • L'économie auto-gérée devra investir une bonne partie du revenu national dans la production du consommateur et des biens d'équipement, en particulier en ses premières années d'opération, de sorte que la productivité du travail soit grimpée jusqu'aux niveaux sans précédent. Dans cet ordre des idées, la croissance économique, avec le socialisme libertaire, serait plus grande qu'avec le capitalisme privé ou le capitalisme d'Etat, puisque l'excédent-valeur gaspillée sur les classes parasites sous le capitalisme serait investie à sa place.
  • Au moyen de l'application d'information et des réseaux informatiques, bien fourni avec tous les types de données, le Conseil fédératif de l'économie aurait l'information réelle pour chaque branche de production ou de services. Par conséquent, l'intégration économique des branches de la production et du service serait une science positive, qui saurait tout le nécessaire afin d'éviter la crise disproportionnel de la croissance de ces branches, sans production des excès de personnel, des marchandises non vendues, ou des matières premières, puisqu'on le connaîtrait, à chaque moment, quantité nécessaire pour produire, distribuer ou investir de sorte que l'économie sociale ait une loi du développement harmonieux.
  • Par exemple, les ordinateurs centraux du Conseil fédératif de l'économie, avec des contributions instructives des terminaux d'ordinateur dans les usines locales, provincial et régional, feraient connaître ce qui était la production de chacun, réservations et expéditions au marché auto-géré.
  • Dans le cas de l'industrie pour la fabrication des récipients de papier, l'ordinateur central enregistrerait le nombre d'établissements, du personnel employé pour chacun d'eux, de total de travail/heures, de coût du personnel dans les unités monétaires stables, d'énergie électrique consommée en cours de production, de valeur des carburants et du gaz employés, de valeur des matières premières consommées, dépenses générales, les impôts, la valeur de toute la production, valeur du travail utilisé, montants destinés pour payer des dettes et pour de nouveaux investissements. Dans la somme : la programmation de l'économie serait simple, sans besoin des bureaucrates, des directeurs de capitaliste ou des technocrates.
  • Quand nous parlons des impôts nous ne nous référons pas à la donation du type capitaliste occidental ni aux impôts sur les sociétés (principalement figurés comme dépenses d'affaires a usurpé des entreprises par l'état en URSS et dans « les républiques populaires qui ont composé le COMECON), mais à la livraison d'une quote-part prédéterminée de l'excédent économique, extraite par les entreprises auto-gérées, transférée aux autonomes, responsable de renvoyer ces transferts à la société dans des services publics sociaux et selon leur capacité : questions sanitaires, hygiène, pavage des rues, autoroutes, routes, ports, chemins de fer, éducation, santé publique et d'autres responsabilités des autonomes qui seraient trop grands à énumérer.
  • Dans ce cas-ci nous essayerions de renforcer l'économie de la municipalité auto-gérée libre, pas dans le sens bureaucratique traditionnellement romain [état-citoyen] ni moderne, mais comme entreprise sociale et publique des citoyens ; aussi bien qu'industriel, agricole, de l'entreprise de recherches ou de certains services globaux qui constitueraient les charges des ouvriers associés avec leurs moyens de production, auto-organisés en Conseils d'ouvrier d'auto-Gestion et dans les unités de base du travail associé, où la comptabilité économique devrait être automatisée au moyen d'ordinateurs et prise en tant que leur unité de calcul, la travail/heure (LH).
  • Il y aurait ainsi une équivalence monétaire de la même valeur, si l'argent est prévu pour rester stable. La LH circulerait monetairement sous forme de billet qui donnerait le droit de consommer raisonnablement, toujours laissant une partie importante afin d'investir plus capital que le porté dehors pendant une année, de sorte que le socialisme libertaire agrandisse le capital social, avec le but du progrès davantage dans l'auto-gestion que sous la dominance des capitalistes ou des bureaucrates.
  • Chaque projet d'investissement serait calculé en heures de travail (LH), aussi bien qu'en termes de la consommation personnelle et publique requise.
  • une partie de l'excédent économique global serait investie en réalisant une plus grande automation de la production industrielle et de la production agricole. Il serait ainsi possible de continuer de ramener le jour ouvrable à une gamme qui accorderait plus de temps libre, de sorte que tous citoyens aient pu occuper leur temps dans plus de relaxation et, surtout, dans une meilleure préparation scientifique, culturelle et technologique
  • La LH, comme argent-travail et comme une quantification de l'économie, ayant une valeur monétaire stable programmerait l'économie : pour rendre compte de ça ; pour établir les coûts des marchandises et des services ; programmation des branches intégrées de la division du travail et corrige les désaccords entre eux ; mesurant dans les produits le coût brut, d'énergie, d'amortissement du capital, de valeur du travail, de contributions économiques aux autonomies locales et au Co-gouvernement national, etc. Tout ceci fonctionnerait dans un socialisme libertaire d'un marché auto-géré, sans spéculateurs, des rentiers ou les négociants, pour que l'avantage de concurrence aille aux ouvriers et aux consommateurs, les groupes de coopérative et entreprises autogérées, de la façon semblable à la manière dont le marché fonctionnait dans les collectivitées libertaires espagnoles pendant la révolution espagnole de 1936-39.
  • Dans une économie libertaire, le travail-argent ne serait pas argent dans le sens capitaliste tel que nous le comprennont et ont besoin de lui aujourd'hui, puisqu'il ne permettrait pas à l'accumulation du capital individuel afin d'exploiter le travail d'autres personnes et d'obtenir une valeur en surplus.
  • plutôt qu'on le prévoirait pour faciliter l'échange des marchandises et du service, sur un marché autogéré, où ces échanges à leur véritable valeur de travail, de sorte qu'ils accomplissent économiquement la loi de l'échange égal de l'égalité de la condition pour toutes branches intégrées de la division sociale du travail et la loi de la coopération de ces mêmes branches ou fédérations de production et de service.
  • Si la LH, l'unité du travail-argent, aurait, par exemple, un pouvoir d'achat de 1 heure de moyenne social-travail et c'était équivalent, en général, à un dollar, on pourrait établir, entre d'autres, le calcul suivant de comptabilité économique :
    • Calcul en (LH) d'une entreprise industrielle.
- Coûts machines = $1000 = 1000 LH
- Structures, energie, etc. = $50000 = 50000 LH
- Heures travaillé en production = 50000 LH
- Total des LH = 101000 LH
- Unitées produites durant la periode de travail = 100
La division de tout le nombre de LH, dépensé au cours de la production, et du total d'unités produites durant ce temps de travail, qui pourrait être quotidien, mensuel, ou annuel, nous aurions une moyenne de valeur de travail par unité produite de 1010 de LH ou de travail-salarié.
  • Eh bien, car aucun argent ne pourrait être absolument stable, depuis si la productivité de travail augmente, dûes aux améliorations des machines, de l'éducation des ouvriers et des méthodes plus efficaces, il résulterait que la LH finira par avoir moins de valeur d'échange, augmentant sa valeur d'utilisation, conduisant ce processus économique vers une économie de l'abondance où, surmontant la valeur vénale, la valeur de l'utilisation seulement demeurerait. En conséquence, après avoir atteint cette étape dans l'économie et la technologie, avec la majeure partie du travail automatisé, la valeur des marchandises produites ne serait pas basée beaucoup sur le travail vivant, mais presque tout serait le travail du passé (capital accumulé), qui déterminerait de ce fait une production autogéré de l'abondance. Alors le temps merveilleux sera arrivé de surmonter finalement l'argent et le produit, chaque homme recevant selon sa nécessité, bien qu'il contribue seulement selon sa capacité inégale, ou en d'autres termes, cela rendrait l'égalité économique entre les hommes possible : communisme libertaire, rationnellement et scientifiquement, économiquement possible, sans lequel il doit considéré comme belle utopie.
  • Only a self-managed economy, rational and objective, based on scientific laws, from the commencement of the establishment of libertarian socialism, avoiding the fall into one phase or another, into either the socialism of group property, into forms of corporatism or of narrow syndicalism, but towards a condition of always placing the general interest above the particular interest of the professional or work groups
  • In this order of ideas, explains Kropotkin, the private ownership the capital and of the earth are attributes of capitalism. Those conditions were consistent with the bourgeoisie as a dominant class, although the public [state] ownership of capital and of the earth is consistent with the capitalism of the soviet-State, which elevates the totalitarian bureaucracy as a new dominant class.
  • But a new economic system, based on self-managed socialism, will have to have another way of estimating the annual economic growth on the basis of short, medium and long term plans, constructing a macro-economic picture of the national and social economy, departing from the known figures and projecting toward figures to be attained in the next trimesters, semesters, years.

Thus the future, in certain manner, will be anticipated by having a Federative Council of the Economy, where each federation of production or of services knows that which it has and that which it wants, in accordance with the effective demand of the self-managed market.

  • Libertarian socialism, if it wants to distinguish itself from authoritarian soviet communism, must respect the law of the supply and demand, without falling into bourgeois liberalism, since in the self-managed market the federations of production and of social and public services act competitively.
  • Because if the market is suppressed, and with it the law of labor-value, the law of economic competition, the law of formation of just prices in the market, it would not be possible establish a rational economy of costs and prices, necessary investments and appropriate consumption.
  • People would be self-organized in their own interest in self-managed enterprises, mutual cooperatives, local self-governments and all types of socio-economic and political forms of direct participation. Politics would be deprofessionalized, abolishing the political class and the political parties as expression of antagonistic interests, since each citizen or worker will participate in their enterprise, local self-government, federation, daily, without falling into the trap of electoralism, where they only participate for a day to elect a government worse than another.
  • Libertarian socialism, creating a social economy based on truthful figures, would have to estimate the GNP in a different manner than the capitalists. It is necessary to give to the concept of social income, units which are measured or concrete and in constant money based on material output: agriculture, cattle raising, forests, fishing, energy, mining, industry, or whatever is actual production. As for the "services", only transportation, railroads, trucking, marine and air would be included in the concrete estimate of the effective or material income, since although transportation doesn't add production, it transports it from one side to another and, in consequence, it should be included in the concrete income of one year to another.
  • Adding the concrete income alongside gross income (administrative "services", commerce, banks and other social and public services), it would be seen if these take too great a percentage in the total income by having too many unproductive personal who, in order to not drain the social economy, would have to be recycled as productive personnel. Now then, in the "services" which could be considered as productive, would be included the personnel destined for Research and Development (R &D), without whose presence an economy will stagnate for lack of economic and technological progress; but the personnel of R&D should be, besides in the Institutes or Centers (which tend to be bureaucratic and technocratic), directly in the industrial enterprises, agricultural, energy, forests, mining, fishing, etc.
  • In sum, the net income of a country would have to be estimated, in a libertarian socialism, at costs determined in relatively stable physical and monetary units which don't mislead, deducting the necessary investments of social capital in order to enlarge production
  • In sum, the libertarian economy should liberate the worker from their old employers, either private managers or from the State as Manager, to end that the workers, by means of their Self-Management Enterprise Councils, direct the economy which they create with their labor upon the means of production associated, from the bottom up, by means of the federations of production and of social services composed in a Federative Council of the Economy; only thus could there be planning and liberty, an associative democracy of full participation of the working people, a self-managed socialist society
  • Without economic liberty there can't be political liberty; since with capitalism there is an economic dictatorship of a plutocratic minority over the majority of working people; and with capitalism of the State, in the soviet manner, the State exploits and oppresses Society by means of the one-Party which is a bad one for the majority and a good one for the bureaucratic, oppressive and exploitive minority. The solution is: neither totalitarian communism nor capitalism but self-management, direct democracy, federalism and socialism.
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