Citations sur la police et la répression
From Anarchopedia
- Un agent de police, Maurice Marullas, s'est brûlé la cervelle. Sauvons de l'oubli le nom de cet honnête homme.
- Félix Fénéon, la revue anarchiste.
- La police ressemble au sable où l'on s'enlise. Plus on se débat, plus on s'enfonce.
- Les quotidiens s'émeuvent à propos d'un gendarme assassin. Bon ! Pourquoi ? Vous leur donnez des instruments à tuer, c'est évidemment pour qu'ils tuent. Puis, faisant métier de défendre la propriété, cet homme en annihilant qui se servit de sa femme, n'est il pas dans la logique ? De quoi vous étonnez-vous?... Mais nous n'allons pas verser des larmes. Ce nous est au contraire une réelle joie de voir les gendarmes s'égorger entre eux. Cela ne leur arrive pas si souvent.
- Félix Fénéon, la revue anarchiste.
- Aux mains de l'individu, la force s'appelle crime. Aux mains de l'Etat, la force s'appelle droit.
- Max Stirner, L'unique et sa propriété.
- Forces de l'ordre : N'ont pas besoin de se forcer pour créer le désordre.
- Le Crapouillot.
- La barricade ferme la rue mais ouvre la voie.
- Graffiti, mai 68.
- A la table du ministre :
- Poulet truffé
- Cervelles d'anars fumées
- Foie de grenades
- Pavés sur barricades
- Grillades de provos
- Soufflé d'enragés
- Eau gazeuse à discrétion.
- Graffiti, mai 68.
- Emeute : distraction populaire donnée à l'armée par d'innocents spectateurs.
- Ambrose Bierce.
- AIDEZ LA POLICE, TAPEZ-VOUS DESSUS VOUS-MÊME !
- Anonyme anglais.
- On est jamais si bien battu que par soi-même.
- Proverbe shadok.
- En voyant ces braves pandores être à deux doigts de succomber
- Moi j'bichais car je les adore sous la forme de macchabées
- De la mansarde ou je réside, j'excitais les farouches bras
- Des mégères gendarmicides en criant hip hip hip hourra.
- Georges Brassens, L'hécatombe.
- Quand un policier penche-t-il en arrière ? Quand il a une idée dérrière la tête.
- Anonyme américain.
- Comme une fille
- La rue se déshabille
- Des pavés s'entassent
- Et les flics qui passent
- Les prennent sur la gueule
- Léo Ferré, Comme une fille (1968).