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Libéralisme autoritaire

http://www.monde-diplomatique.fr/1997/02/CHUNG/7807.html http://doc-iep.univ-lyon2.fr/Ressources/Bases/Fripes/article.html?ID=40345 http://doc-iep.univ-lyon2.fr/Ressources/Bases/Fripes/article.html?ID=717 http://doc-iep.univ-lyon2.fr/Ressources/Bases/Fripes/article.html?ID=42418 http://www.monde-diplomatique.fr/2000/08/MARCOS/14136.html http://partitions.levillage.org/breve.php3?id_breve=81 http://www.alire.com/Romans/BiendesautresExtrait.html

  • "L’article de Marcuse intitulé « Le libéralisme dans la conception totalitaire de l’Etat » établit un lien dialectique selon lequel le totalitarisme continue le libéralisme, et y réagit par l’héroïsme et la célébration de la nature. Dans « L’Etat autoritaire » (1942), Horkheimer met en évidence le passage, qui fait advenir à partir du libéralisme un nouvel ordre économique, social et politique, l’étatisme intégral, qui désigne le capitalisme d’Etat mais aussi le socialisme d’Etat. La relation entre l’ordre libéral et ce nouvel ordre autoritaire (« Le capitalisme d’Etat est l’Etat autoritaire du présent ») est double et dialectique : l’ordre autoritaire émerge de tendances contenues dans l’ordre libéral, il en constitue un prolongement mais il s’oppose également à cet ordre. Un tel passage désigne l’avènement d’une forme nouvelle de domination où les médiations économiques à l’œuvre dans l’économie de marché, les médiations politiques et juridiques, sont abolies dans le capitalisme d’Etat. Horkheimer caractérise les tendances à l’étatisme intégral en termes de développement vers le monde administré. L’Etat autoritaire est une structure commune à deux figures historiques, le capitalisme de monopoles (le nazisme) et l’étatisme intégral (le stalinisme)." libéralisme et autoritarisme
  • " Tel est la cas de l’étude de Tak-Wing Ngo (« Valeurs sociétales et politique consensuelle dans le Hong Kong colonial »). Pour lui, le régime politique de l’ancienne colonie est une sorte de libéralisme autoritaire (liberal authoritarianism) ou d’autoritarisme pluraliste (pluralistic authoritarianism). D’un côté « pas d’élection ou de suffrage universel jusqu’en 1982, pas de partis politiques jusque dans les années 1990 », de l’autre « aucun manque repérable en matière de défense des groupes d’intérêt, de mouvements sociaux ou de lobbying » (p. 131)." libéralisme autoritaire à Hong kong
  • "Le libéralisme autoritaire croît aux valeurs du marché (mise en concurrence, recherche exclusive du profit) pour réguler l’économie, structurer la société et donner un idéal de vie aux individus. Il considère que ceux qui ne s’en sortent pas (entreprises, groupes sociaux, territoires, pays, individus) méritent leur condition, les règles du jeu étant (soi-disant) les mêmes pour tous." Le libéralisme autoritaire de N. Sarkozy.
  • " L'étude de la version fasciste de l'idéologie bourgeoise est très instructive à cet égard. Dans son analyse de la philosophie politique qui accompagne, en Allemagne, la construction de l'État totalitaire, Marcuse démontre comment «des éléments fondamentaux (de cette philosophie) sont prélevés dans l'interprétation libérale, puis réinterprétés et développés en fonction des conditions économiques et sociales modifiées... les deux points de départ les plus importants que la nouvelle théorie de l'État et de la société trouve dans le libéralisme (étant) : l'interprétation naturaliste de la société et le rationalisme libéral débouchant sur l'irrationalisme» (Note 11). Dans la version fasciste du libéralisme, l'individu s'abolit dans le tout conçu comme «race», «peuple», «pensée nationale», «terre et sang», «communauté de destin» et incarné par l'État totalitaire qui devient «le représentant des possibilités propres de l'être-là » (Note 12). Y sont renversés les principes libéraux de la séparation de l'État et de la société, de la séparation et de la distinction entre la nature et l'économie ; la rationalité, la liberté, la responsabilité des individus se trouvent sublimés dans l'omnipotence et l'omniscience de l'État. Pourtant, comme le souligne Marcuse, « si l'État autoritaire total donne à son combat contre le libéralisme l'aspect d'une lutte entre « conceptions du monde », en laissant de côté la structure sociale fondamentale du libéralisme c'est parce qu'il est au fond largement d'accord avec cette structure de base... (qui) repose sur une organisation économique privée de la société » (Note 13)" "Classes et pouvoir. Les théories fonctionnalistes. (1978)" Nicole Laurin-Frenette
  • "Marcuse had already argued in his 1934 essay, “The Struggle Against Liberalism in the Totalitarian View of the State,” that National Socialism had liquidated the liberal-democratic political principles of the Weimar republic, while at the same time consolidating the monopolistic forms of capital accumulation that had made great strides in Germany in the twenties. In “State and Individual under National Socialism” he makes a similar argument, although he places greater emphasis on the achievements of Weimar. In his view, the Nazi regime allowed German industry to cast off the fetters imposed upon it by the Weimar republic, and thus cleared the way for imperialist expansion in the East. He also focuses – clearly demonstrating the influence of Neumann’s Behemoth – on the abolition of the Weimar Rechtsstaat and the dissolution of universalist law, which placed German society under the direct control of particularistic groups, such as big industry, the Nazi party, and the Wehrmacht. In other words, Marcuse tried to convince his American audience that fascism was not the complete antithesis of their own society – it was not a monolithic state and it brought to fruition certain tendencies operative in all capitalist economies – while at the same time reminding them that the universalist political principles they were defending were far more than metaphysical abstractions." Review of : "Herbert Marcuse: Technology, War and Fascism"

Étatisme libéral - libéral étatiste - État libéral - libéralisme étatiste...

Libéralisme autoritaire - Libéralisme totalitaire

fascisme économique - Fascisme libéral

(28 mars 1936, Les pacifistes et la guerre) Réveil anarchiste. "Cela découle du régime capitaliste, qui se sentant frappé, impuissant, menacé, cherche à se sauver par tous les moyens, même les pires comme le fascisme et la guerre, qui peuvent l'acculer à une situation désespérée."

  • http://www.marxists.org/francais/bordiga/works/1921/11/bordiga_fascisme.htm : "Quelle conclusion tirer du mélange informe d'anti-cléricalisme franc-maçon et de religiosité militante, de libéralisme économique et d'anti-libéralisme politique, grâce auquel le fascisme tente de se distinguer à la fois du programme du parti populaire et du collectivisme communiste?"
  • http://troploin0.free.fr/biblio/insur_fr/page2.htm : "Le fascisme pourrait être demain notre châtiment si nous laissons passer l’heure du socialisme." "Ils (les possédants) recourent à la solution fasciste moins pour se protéger contre les troubles de la rue que contre les troubles de leur propre système économique. " "Tout l’art du fascisme consiste à se dire anticapitaliste sans s’attaquer sérieusement au capitalisme."

Autonomie et hétéronomie

abraham guillén

résumé

[2] [3] [4]

organiser l'autogestion

  • économie inspiré par l'autogestion et le fédéralisme. avec un marché auto-géré.
  • la loi de la valeur du travail auto régule les échanges de bien et de services à leur juste valeur. Équité économique, coopération entre des distinctes féderations, équivalence des échanges... Un marché libéré des capitalistes et de l'État.
  • les gens doivent s'organiser par eux mêmes dans une démocratie directe et par autogestion de l'entreprise.
  • fédéralisme économique (autogestion du lieu de travail) et administratif (local, regional et national auto-gouvernement), participation directe de gens organisés pour leur intérete et sans intermédiaire.
  • pour arriver à une société auto-géré, d'égalité dans l'education et dans les conditions sociales pour tous, où chacun recoit selon ses besoins et selon les possibilitées de la société, il sera nécessaire de transcender l'économie politique comme une science de l'administration des ressources rares et de la distribution des biens et services selon la quantité et la qualité du travail, abolissant en même temps la division du travail dans les professions ou les corporations, en vertu de ce que certains consomment plus que d'autres, en utilisant l'argent et des revenus inégaux afin de perpétuer l'inégalité parmi des personnes .
  • Une société auto-contrôlée peut être établie avec la propriété sociale des moyens de production et le capital d'échange, d'union, le travail et la technologie sans classes finies d'antagonisme ou des formes de propriété. Ceci créerait une société égalitaire dans la culture, les sciences économiques et la technologie, grâce à une économie de l'abondance.
  • Il est possible de donner le pouvoir d'autonomie aux communautés locales, zones, provinces et régions, au moyen d'un fédéralisme économique et d'une autogestion qui seraient intégrés dans un conseil économique suprême. un Co-gouvernement des choses au moyen de fédérations de production et de services. Ces fédérations fonctionneraient démocratiquement et seraient autogérées, avec le but de tout ce processus ayant une loi d'harmonie des développement sans crises économiques de disproportionality entre toutes branches de production et services. En d'autres termes, elles fonctionneraient sans crises relatives de sous production ou de surproduction comme ça se produit, respectivement, sous le capitalisme d'Etat ou le capitalisme privé.
  • --et établissant dans leur endroit une démocratie d'association, auto-gestion et libertaire, où chacun serait égal dans les droits et les responsabilités, avec des privilèges pour personne.
  • La planification du développement économique, culturel et technologique doit résulter de la mise de la richesse sociale en commun [...] ça implique un programme d'harmonisation de la proportion de croissance des branches de la production et des services de la pleine participation de bas en haut, basés sur un socialisme libertaire et fédératif.
  • Au moyen de ce fédéralisme basé sur le socialisme libertaire, l'économie, les ressources naturelles et humaines, l'équilibre des écosystèmes normaux, le plein emploi du travail disponible, les loisirs et le temps d'éducation à tous les niveaux de la connaissance, la vie social-économique et culturelle de la localité, de la zone, de la province, de la région, de la nation ou du monde, peuvent être programmés avec la participation de chacun dans tout, sans créer une grande confusion.
  • Un programme social-économique, avec la participation populaire continuelle (pas indirectement par des élections municipales, régionales ou nationales, comme cela est aujourd'hui), doit être par les moyens des fédérations dans l'industrie, agriculture, et les services, a intégré dans un Conseil fédératif de l'économie, dans laquelle toutes fédérations produisant des marchandises et des services doivent être représentées. À titre d'exemple, ce « Conseil fédératif de l'économie » devrait intégrer, entre autres, les fédérations suivantes : Fruits et produits horticoles ; Céréales ; Alimentation pour le bétail ; L'industrie alimentaire, y compris des importations ; Hôtellerie et tourisme ; Vin, bière, et boissons alcooliques ; Pétroles et graisses de légume et animaux ; Pêche : bateaux et mise en boîte ; Textiles ; Fourrures et cuir ; Bois de construction et liège ; Les industries de papier et graphiques ; Produits chimiques ; Construction ; Verre et céramique ; Usinage en métal ; Acier ; Minerais non ferreux : métaux et alliages ; Énergie : pétrole, charbon, gaz, électricité, et énergie atomique ; L'information et la construction des ordinateurs, des microcircuits intégrés, et des semi-conducteurs ; L'électronique : machines commandées numériques ; Biotechnologie ; Aérospatial ; Recherche et développement, technologie de union avec le travail.
  • Une économie auto-gérée devra rationnellement organiser les branches de l'industrie et, dans chacune, y intégrer les petites et moyennes entreprises avec les grandes entreprises pour constituer un entier unifié
  • Quand nous parlons des impôts nous ne nous référons pas à la donation du type capitaliste occidental ni aux impôts sur les sociétés (principalement figurés comme dépenses d'affaires a usurpé des entreprises par l'état en URSS et dans « les républiques populaires qui ont composé le COMECON), mais à la livraison d'une quote-part prédéterminée de l'excédent économique, extraite par les entreprises auto-gérées, transférée aux zones autonomes, responsable de renvoyer ces transferts à la société dans des services publics sociaux et selon leur capacité : questions sanitaires, hygiène, pavage des rues, autoroutes, routes, ports, chemins de fer, éducation, santé publique et d'autres responsabilités des zones autonomes qui seraient trop grands à énumérer.
  • Il y aurait ainsi une équivalence monétaire de la même valeur, si l'argent est prévu pour rester stable. La LH circulerait monetairement sous forme de billet qui donnerait le droit de consommer raisonnablement, toujours laissant une partie importante afin d'investir plus de capital que le porté dehors pendant une année, de sorte que le socialisme libertaire agrandisse le capital social, avec le but du progrès davantage dans l'auto-gestion que sous la dominance des capitalistes ou des bureaucrates.
  • Chaque projet d'investissement serait calculé en heures de travail (LH), aussi bien qu'en termes de la consommation personnelle et publique requise.
  • une partie de l'excédent économique global serait investie en réalisant une plus grande automation de la production industrielle et de la production agricole. Il serait ainsi possible de continuer de ramener le jour ouvrable à une gamme qui accorderait plus de temps libre, de sorte que tous citoyens aient pu occuper leur temps dans plus de relaxation et, surtout, dans une meilleure préparation scientifique, culturelle et technologique
  • La LH, comme "Heure de Travail" et comme une quantification de l'économie, ayant une valeur monétaire stable programmerait l'économie : pour rendre compte de ça ; pour établir les coûts des marchandises et des services ; programmation des branches intégrées de la division du travail et corrige les désaccords entre eux ; mesurant dans les produits le coût brut, d'énergie, d'amortissement du capital, de valeur du travail, de contributions économiques aux autonomies locales et au Co-gouvernement national, etc. Tout ceci fonctionnerait dans un socialisme libertaire d'un marché auto-géré, sans spéculateurs, sans rentiers ou ni négociants, pour que l'avantage de concurrence aille aux ouvriers et aux consommateurs, les groupes de coopérative et entreprises autogérées, de la façon semblable à la manière dont le marché fonctionnait dans les collectivitées libertaires espagnoles pendant la révolution espagnole de 1936-39.
  • Dans une économie libertaire, l'argent du Travail ne serait pas argent dans le sens capitaliste tel que nous le comprennont et qui ont besoin de lui aujourd'hui, puisqu'il ne permettrait pas à l'accumulation du capital individuel afin d'exploiter le travail d'autres personnes et d'obtenir une valeur en surplus.
  • plutôt qu'on le prévoirait pour faciliter l'échange des marchandises et du service, sur un marché autogéré, où ces échanges à leur véritable valeur de travail, de sorte qu'ils accomplissent économiquement la loi de l'échange égal de l'égalité de la condition pour toutes branches intégrées de la division sociale du travail et la loi de la coopération de ces mêmes branches ou fédérations de production et de service.
  • Si la LH, l'unité de l'"Heure de Travail", aurait, par exemple, un pouvoir d'achat de 1 heure de moyenne de travail social et c'était équivalent, en général, à un dollar, on pourrait établir, entre d'autres, le calcul suivant de comptabilité économique :
    • Calcul en (LH) d'une entreprise industrielle.
- Coûts machines = $1000 = 1000 LH
- Structures, energie, etc. = $50000 = 50000 LH
- Heures travaillé en production = 50000 LH
- Total des LH = 101000 LH
- Unitées produites durant la periode de travail = 100
La division de tout le nombre de LH, dépensé au cours de la production, et du total d'unités produites durant ce temps de travail, qui pourrait être quotidien, mensuel, ou annuel, nous aurions une moyenne de valeur de travail par unité produite de 1010 de LH ou de travail-salarié.
  • Seule une économie auto-gérée, raisonnable et objectif, basé sur des lois scientifiques, au commencement de l'établissement du socialisme libertaire, évitant la chute dans une phase ou une autre, dans le socialisme de la propriété de groupe, dans des formes de corporatisme ou du syndicalisme étroit, mais vers un état plaçant toujours l'intérêt général au-dessus de l'intérêt particulier du professionnel ou des groupes de travail.
  • Mais un nouveau système économique, basé sur le socialisme auto-contrôlé, devra avoir une autre manière d'estimer la croissance économique annuelle sur la base des plans courts et à moyen et long terme, construisant une image macro-économique avec de l'économie nationale et sociale, s'écartant des figures connues et projetant vers des figures d'être atteint dans les prochains trimestres, semestres, années. Ainsi le futur, d'une certaine façon, sera prévu en ayant un Conseil fédératif de l'économie, où chaque fédération de production ou de services sait ce qu'elle a et ce qu'elle veut, selon la demande efficace du marché auto-contrôlé.
  • Le socialisme libertaire, s'il veut se distinguer du communisme soviétique autoritaire, doit respecter la loi de l'offre et la demande, sans tomber dans le libéralisme bourgeois, puisque sur le marché auto-contrôlé les fédérations de production et de services publics et sociaux agissent competitivement.
  • Car si le marché est supprimé, et avec lui la loi de la valeur travail, la loi de la concurrence économique, la loi de la formation des prix justes sur le marché, il ne serait pas possible d'établir une économie raisonnable des coûts et des prix, des investissements nécessaires et de la consommation appropriée.
  • Les gens seraient auto-organisés dans leur propre intérêt dans des entreprises auto-contrôlées, des coopératives mutuelles, des auto-gouvernements locaux et tous types de formes socio-économiques et politiques de participation directe.
  • La politique serait deprofessionalisé, supprimant la classe politique et les partis politiques comme expression d'intérêts antagoniques, depuis chaque citoyen ou ouvrier participeront à leur entreprise, autonomie locale, fédération, quotidiennement, sans tomber dans le piège de l'electoralisme, où elles participent seulement pendant un jour pour élire un gouvernement aussi mauvais que les autres.
  • Le socialisme libertaire, créant une économie sociale basée sur des figures véridiques, devrait estimer le PNB d'une façon différente des capitalistes. Il est nécessaire de donner au concept du revenu social, les unités qui sont mesurées ou béton et en argent constant basé sur le rendement matériel : agriculture, élevage du bétail, forêts, pêche, énergie, exploitation, industrie, ou ce qui est une production réelle. Quant aux « services », seulement le transport, les chemins de fer, le camionnage, marin et aérien seraient inclus dans l'évaluation concrète du revenu efficace ou matériel, bien que le transport n'ajoute rian à la production, il le transporte d'un côté à l'autre et, en conséquence, il devrait être inclus dans le revenu concret d'un an à l'autre.
  • Ajoutant le revenu concret à côté du revenu brut (« services » administratifs, commerce, banques et d'autres services publics sociaux), on le verrait si ceux-ci prennent un pourcentage trop grand dans tout le revenu en ayant trop de personnel improductif qui, afin de ne pas vidanger l'économie sociale, devrait être réutilisé en tant que personnel productif. Et bien, dans « services » qui pourrait être considéré comme productif, serait inclus le personnel destiné à la recherche et au développement (R&D), sans lesquels cette présence, une économie stagnera par manque de progrès économique et technologique ; mais le personnel de la R&D devrait être, sans compter que dans les instituts ou les centres (qui tendent à être bureaucratiques et technocratiques), directement dans les entreprises industrielles, agricole, l'énergie, des forêts, l'exploitation, la pêche, etc.
  • En somme, le revenu net d'un pays devrait être estimé, dans un socialisme libertaire, aux coûts déterminés dans les unités physiques et monétaires relativement stables qui ne trompent pas, déduisant les investissements nécessaires du capital social afin d'agrandir la production
  • En somme, l'économie libertaire devrait libérer l'ouvrier de leurs vieux employeurs, les directeurs privés ou de l'État comme directeur, pour finir que les ouvriers, au moyen de leurs Conseils d'entreprise d'Auto-Gestion, dirigent l'économie qu'ils créent avec leur travail sur les moyens de production associés, du bas vers le haut, au moyen des fédérations de la production et des services sociaux composés au Conseil fédératif de l'économie ; seulement ainsi a pu il y avoir la planification et la liberté, une démocratie associative de la pleine participation des personnes travaillantes, une société socialiste auto-gérée
  • Sans liberté économique il ne peut pas y avoir liberté politique ;


scientisme, travail et productivisme

intro

A. Guillén considére la science comme un moyen permettant la réalisation d'une économie libertaire et l'abolition de l'État. La révolution informatique, l'automation/automatisme, entre autres, étant des moyens important et essentiels menant vers cette réalisation d'une "société harmonieuse sans conflits sociaux, ni contradictions économiques", abolissant la traditionnelle division du travail, et comme moyens permettant d'accroitre la productivité des machines pour ainsi libérer le temps de travail pour les travailleurs ; mi-temps productif libérant les travailleurs manuels de la production matérielle et mi-temps éducatif permettant la polyvalence par l'apprentissage de divers métiers.

Le communisme libertaire est, pour A. Guillén, le point résumant une société d'abondance dans lequel toutes ces techniques auraient des conditions libératrices adéquat, avec peu d'obstacles, tel que par l'autogestion et par un travail automatisé. Les moyens techniques seraient donc socialisés, et ne seraient pas, comme dans la dictature du capital privé ou d'État, appropriés par une ploutocratie. L'informatique et les réseaux informatiques permettrait de se passer des bureaucrates et des technocrates, pour ainsi permettre l'autogestion par ces réseaux, qui sont alors plus efficaces et meilleur marché pour la gestion des besoins et des moyens.

  • c'est le meilleur moment où l'économie libertaire est possible par la science, permettant d'abolir l'État et créant un auto-gouvernement décentralisé.
  • par l'accroissement de la productivité, tlm travaillant scientifiquement, il sera possible une journée de travail avec mi-temps-productif et mitemps-éducatif. le but est de permettre à tout le monde d'être polyvalent, et ceci avec l'aide de la révolution informatique afin d'abolir la traditionnelle division du travail (intellectuel et manuel).
  • la révolution informatique doit libérer le travail manuel de la production matérielle. l'autogestion et l'automation, qui résume le communisme libertaire, créera toutes les conditions techniques, économiques, culturelles et scientifiques pour atteindre une société harmonieuse sans conflits sociaux, ni contradictions économiques.
  • le communisme libertaire pour l'humanité pour atteindre une économie d'abondance, par un haut niveau de productivité par le travail automatisé, aura à dépasser la loi de la valeur d'échange, salaires, argent, marchandises, revenus inégaux, l'État...
  • maintenant, une économie libertaire autogéré est capable de produire un surplus économique plus grand que dans le capitalisme d'État ou privé. Et de reproduire une grande part de ce surplus en capital social, par l'amélioration de la productivité du travail. Par conséquent les ouvriers réaliseront un taux de croissance plus élevé des forces productives (avec moins d'éfforts humains, par l'automation) que le capitalisme d'Etat ou privé.
  • Dans nos époques, les réseaux informatiques --s'ils sont bien programmés, si leur mémoire est mise à jour et constamment remplacée, s'ils enregistrent toutes données fondamentales d'un pays, d'une société, d'une entreprise, d'une localité, de zone et de région-- sont plus efficace et meilleur marché pour la gestion de l'entreprise ou la société que les politiciens ou les technocrates et les bureaucrates professionnels de tous les types.
  • À notre école de pensée, la croissance économique, le droit au travail pour tous, les progrès économiques, culturels et technologiques, sont développées avec peu d'obstacles dans une société libertaire que dans une société sous une dictature totalitaire de grands monopoles capitaliste ou de capitalisme d'état. Dans les deux cas, donnés le grand progrès réalisé par notre société, les dictatures du capital privé ou du capital d'état peut être surmonté.
  • il est nécessaire d'avoir la démocratie et la croissance économique, avec une plus grande productivité de travail. Ceci exigerait également le plein emploi de la population active, avec la pleine participation de tous dans les décisions et la connaissance pour ceci dans le bien de chacun. Il est nécessaire de créer une société libertaire, dans laquelle les élites du pouvoir et de la connaissance et des domaines sociaux de chaque type, seraient dépassés dans le travail, la science, le capital et la technologie, au moyen d'auto-gestion efficace, la vraie participation du peuple.
  • L'économie auto-gérée devra investir une bonne partie du revenu national dans la production du consommateur et des biens d'équipement, en particulier en ses premières années d'opération, de sorte que la productivité du travail soit grimpée jusqu'aux niveaux sans précédent. Dans cet ordre d'idées, la croissance économique, avec le socialisme libertaire, serait plus grande qu'avec le capitalisme privé ou le capitalisme d'Etat, puisque le surplus gaspillée pour les classes parasites sous le capitalisme serait investie ailleurs.
  • Au moyen de l'application d'information et des réseaux informatiques, bien fourni avec tous les types de données, le Conseil fédératif de l'économie aurait l'information réelle pour chaque branche de production ou de services. Par conséquent, l'intégration économique des branches de la production et du service serait une science positive, qui saurait tout le nécessaire afin d'éviter la crise disproportionnel de la croissance de ces branches, sans production des excès de personnel, des marchandises non vendues, ou des matières premières, puisqu'on le connaîtrait, à chaque moment, quantité nécessaire pour produire, distribuer ou investir de sorte que l'économie sociale ait une loi du développement harmonieux.
  • Par exemple, les ordinateurs centraux du Conseil fédératif de l'économie, avec des contributions instructives des terminaux d'ordinateur dans les usines locales, provincial et régional, feraient connaître ce qui était la production de chacun, réservations et expéditions au marché auto-géré.
  • Dans le cas de l'industrie pour la fabrication des récipients de papier, l'ordinateur central enregistrerait le nombre d'établissements, du personnel employé pour chacun d'eux, de total de travail/heures, de coût du personnel dans les unités monétaires stables, d'énergie électrique consommée en cours de production, de valeur des carburants et du gaz employés, de valeur des matières premières consommées, dépenses générales, les impôts, la valeur de toute la production, valeur du travail utilisé, montants destinés pour payer des dettes et pour de nouveaux investissements. Dans la somme : la programmation de l'économie serait simple, sans besoin des bureaucrates, des directeurs de capitaliste ou des technocrates.
  • Dans ce cas-ci nous essayerions de renforcer l'économie de la municipalité auto-gérée libre, pas dans le sens bureaucratique traditionnellement romain [état-citoyen] ni moderne, mais comme entreprise sociale et publique des citoyens ; aussi bien qu'industriel, agricole, de l'entreprise de recherches ou de certains services globaux qui constitueraient les charges des ouvriers associés avec leurs moyens de production, auto-organisés en Conseils d'ouvrier d'auto-Gestion et dans les unités de base du travail associé, où la comptabilité économique devrait être automatisée au moyen d'ordinateurs et prise en tant que leur unité de calcul, la travail/heure (LH).
  • Et bien, car aucun argent ne pourrait être absolument stable, si la productivité du travail augmente, dûes aux améliorations des machines, de l'éducation des ouvriers et des méthodes plus efficaces, il résulterait que la LH finira par avoir moins de valeur d'échange, augmentant sa valeur d'utilisation, conduisant ce processus économique vers une économie de l'abondance où, surmontant la valeur vénale, la valeur de l'utilisation seulement demeurerait. En conséquence, après avoir atteint cette étape dans l'économie et la technologie, avec la majeure partie du travail automatisé, la valeur des marchandises produites ne serait pas basée beaucoup sur le travail vivant, mais presque tout serait le travail du passé (capital accumulé ; les machines), qui déterminerait de ce fait une production autogéré de l'abondance. Alors le temps sera arrivé de surmonter finalement l'argent et le produit, chaque homme recevant selon sa nécessité, bien qu'il contribue seulement selon sa capacité inégale, ou en d'autres termes, cela rendrait l'égalité économique entre les hommes possible : communisme libertaire, rationnellement et scientifiquement, économiquement possible, sans lequel il doit considéré comme belle utopie.
révolution informatique

(organisation décentralisé et auto géré, logiciel de gestion directe des besoins, des moyens et des services)

automation et productivisme des machines

(- d'efforts humains)

éducation scientifique

(apprentissage de divers métiers)

plein emploi et libération du temps

(- de travail + de loisirs).