Difference between revisions of "Love and Rage"
m |
m |
||
Line 18: | Line 18: | ||
Les membres du Love and Rage ont aussi participés à plusieurs luttes contre les mesures néo-libérales américaines. Ceux-ci incluent la lutte contre la coupure de budgets et les coûts montant à la City University of New York, '''a Living Wage campaign in Vermont''', et des connections avec les organisateurs pour les Droits de Bien-être à Minneapolis. | Les membres du Love and Rage ont aussi participés à plusieurs luttes contre les mesures néo-libérales américaines. Ceux-ci incluent la lutte contre la coupure de budgets et les coûts montant à la City University of New York, '''a Living Wage campaign in Vermont''', et des connections avec les organisateurs pour les Droits de Bien-être à Minneapolis. | ||
− | + | En [[1996]], des divisions majeures commençèrent à apparaitre dans l'organisation. Un ou deux des membres les plus actifs de l'organisation, quittaient les idées anarchistes. Une autre faction faite principalement des ex-membres du RSL, argumentait pour des politiques anarchistes focusés sur la classe ouvrière, en opposition à deux autres factions, qui désiraient focuser sur la question de race Another trend made up mainly of older former members of the RSL who argued for an anarchist politics focused on the working class, in opposition to two other factions, both which focused on race: one which wanted to make "white skin privilege" the central concern; the other of which focused more broadly on what some would call a Third World Marxist program which included an endorsement of nationalism by non-white racial groups, combiné avec un focus sur le genre et la sexualité. La division régionale de l'organisation, causé par les priorités différentes des gens locaux de la ville de New York et de Minneapolis ont également joué un rôle là -dedans. Le collectif de Minneapolis se concentrait d'abord sur la construction de relations avec les organisations locales, _building a large and regular Cop watch project,_jouant un rôle significatif dans les efforts locales autour du cas de Mumia Abu Jamal, de la brutalité policière, de la solidarité aux Zapatistes et aux droits à l'avortement. _As the fight over Marxism took off between ex-RSL, many in Minneapolis found the debate to be irrelevant to organizing work, and began to leave the organization._ La Love and Rage Revolutionary Anarchist Federation s'est officiellement dissoue en [[1998]]. Les tendences marxistes basé dans les collectif à New York et dans San Francisco Bay Area ont formé le [[Fire by Night Organizing Committee]], a non-anarchist cadre group avec des chapitres à New York et San Francisco. Deux autres des membres de New York (un desquels avait été maoiste avant de joindre Love and Rage) ont ensuite joint l'organisation marxiste Freedom Road Socialist Organization. _A second group - those who endorsed the idea of 'white privilege' and were grouped around Joel Olson_ - formèrent la Fédération [[Bring the Ruckus!]], qui se décrivait comme entre le Parti léniniste et le réseau anarchiste. Un autre groupe, fait d'ex-membres du RSL commencèrent à publier [[The Utopian]], et quelques uns entrèrent dans la [[NEFAC]], fédération anarcho-communiste [[plateformiste]]. Plusieurs autres individus devinrent simplement actif dans formes anarchistes ou non de l'[[activisme]]. | |
− | Même si le membership formel de Love and Rage n’a jamais excèder 150 personnes en aucun temps (et que moins de 40 personnes se sont présentés/es à la conférence finale), il y a eu plusieurs fois où les gens sont passés par l’organisation et celle-ci avait un cercle de sympatisants/es et de lecteurs/trices de son journal encore plus grand. (L’impression du dernier numéro avait 9000 copies). Love and Rage avait une culture très vivante du débat interne qui, pour la plus grande partie de son existance, évita les querelles [[Sectarisme|sectaires]]. | + | Même si le membership formel de Love and Rage n’a jamais excèder 150 personnes en aucun temps (et que moins de 40 personnes se sont présentés/es à la conférence finale), il y a eu plusieurs fois où les gens sont passés par l’organisation et celle-ci avait un cercle de sympatisants/es et de lecteurs/trices de son journal encore plus grand. (L’impression du dernier numéro avait 9000 copies). Love and Rage avait une culture très vivante du débat interne qui, pour la plus grande partie de son existance, évita les querelles [[Sectarisme|sectaires]]. _While they largely rejected its emphasis on building a disciplined revolutionary organization, Love and Rage influenced the political perspectives of a fraction of the young activists who would go on to play major roles in the [[anti-globalization movement]], in particular their understanding of the distinct role of racism in the workings of U.S. society_. |
== Autres ressources == | == Autres ressources == |
Revision as of 02:54, 29 November 2006
L'avancement de cette traduction est de %. |
Catégorie:En traduction La Love and Rage Revolutionary Anarchist Federation a été formée en 1993 à partir des groupes restant du Love and Rage Network.
Le Love and Rage Network a été créé dans une conférence au mois de novembre 1989 pour lancer un journal anarchiste révolutionnaire nord-américain. Le projet de journal a grandit dans une série de North American Anarchist Gatherings(Rassemblements anarchiste Nord Américain) ; en 1986 à Chicago, en 1987 à Minneapolis, en 1988 à Toronto et en 1989 à San Francisco. Au rassemblement de 1986, un réseau de groupes a commencé à se former. Au rassemblement de 1987 le Mayday Network a été établi et l’année suivante, les discussions sur un journal anarchiste nord-américain ont mené à la production de deux journaux à une seule parution Rage et Writing on the Wall, qui furent les prédecesseurs de « Love and Rage/Amor y Rabia ».
L’initiative de base est cependant venue d’un groupe basé à Minneapolis, le Revolutionary Anarchist Bowling League (RABL).La, à sa création, trotkyste, Revolutionary Socialist League (RSL) (qui se désintégra immédiatement après qu’une fraction de leurs membres ait participé à la fondation du nouveau projet, _and gave them their 501(c)3, the Aspect Foundation)_ fut aussi l’une des principales forces du projet. Les supporteurs initiaux incluent des collectifs anarchistes de Chicago, San Francisco, Miami, Atlanta, Toronto et Knoxville. Une autre forte influence sur l’organisation a été le collectif "Free Society" qui était influencé par les théories d’Écologie sociale de Murray Bookchin. Ils commencèrent à publier leur journeau bilingue Love and Rage/Amor y Rabia en janvier 1990._Some anarchists were wary of the network and their federation_, se demandant s'ils étaient réellement anarchiste, quelques anarchistes se sont même demandés si le RSL n'était pas un groupe trotkyste _performing some kind of entryist tactic. More lifestyle-oriented anarchists,_ particulièrement ceux du groupe Fifth Estate, avaient accusé Love and Rage d’être secrètement une secte léniniste depuis le début. Même si quelques membres du collectif de New York sont éventuellement devenus léninistes, cette accusation n’a pas de sens pour la plupart des membres du groupe, qui se définissait anarchiste et rejetait le léninisme. Les développements subséquents ont révélé que les membres de l’ex-Revolutionary Socialist League étaient parmis les anars les plus orthodoxes de l’organisation. Pour les membres de Love and Rage, l’influence trotkyste sur le groupe n’a jamais eu de sens, alors que les membres du groupe ex-RSL tendaient à être une génération plus vieux/vielle que le 20-30 ans de la plupart du reste du groupe.
Dans ses incarnations variées (comme journal, réseau et fédération), Love and Rage avait une orientation activiste forte and ses membres participèrent aux luttes sur de différentes questions. La première "grosse action" avec le support de Love and Rage a été la 1990 Earth Day Wall Street Action, une journée d'action directe ciblant les conséquences écologiques du capitalisme. Love and Rage a appelé au premier Black bloc aux États-unis, une échappée du corps principal de la marche sur Washington DC de Janvier 1991 contre la première guerre du golf persique, black bloc qui s'est alors attaqué aux quartiers généraux de l'International Monetary Fund.
Depuis le commencement, les membres de Love and Rage n'accordaient pas beaucoup d'importance à l'"orthodoxité anarchiste", et adoptaient des positions fortement influencés par quelques variétés de marxisme. Ils ont donné du support aux luttes de libération nationale et ont tenu compte des privilèges des gens de peaux blanches dans leur analyse du racisme aux États-Unis en argumentant que les bénéfices matériels et psychologiques reçus par les travailleurs/euses blancs/ches aux dépends des travailleurs/euses non-blancs/ches (surtout les afroaméricains/es) sabotaient la base de l'unité de classe ouvrière multi-raciale et devait, ce fesant, être confronté directement si une telle unité était désirée. Ces idées sont arrivées dans l'organisation spécialement à cause du rôle de solidarité avec les prisonniers/ières, qui a forgé des relations personelles entre des membres de Love and Rage et des ex- ou encore membres de groupes tels que, le Black Panther Party, le Black Liberation Army, le Weather Underground Organization et la George Jackson Brigade. The theory has complex roots in Black nationalist and American communist thinking and became influential in the New Left through the writings of Noel Ignatiev, and Ted Allen. In the late 1950s and early 60s Ignatiev and Allen were both members of the Provisional Organizing Committee, a proto-Maoist breakaway from the CPUSA. Ignatiev became active in Students for a Democratic Society and was later a leading figure in the Sojourner Truth Organization, an organization influenced by Maoism and Italian Autonomist Marxism. He briefly joined Love and Rage but denounced the group as "incapable of building dual power" at its 1994 conference, and left after less than a year. Some members of Love and Rage also echoed Lenin in arguing for the need for disciplined forms of revolutionary organization. The two most clearly opposed positions: one calling for a cadre type organization and the other for a more federated and localized group were based roughly in New York, where members involved in organizing within the multi-national and largely working class student movement at the City University of New York(CUNY) came to question some central tenets of anarchism, and Minneapolis, where the political environment was more focused on community organizing projects. The emergence of two opposed trends was one of the factors that led the group to split.
En 1991, les groupes publiant le journal, formèrent le Love and Rage Network. Cette même année, un rassemblement anarchiste à Cuernavaca au mexique amène la création du premier groupe Amor y Rabia dans la ville de Mexico. En 1993, le groupe de Mexico, avec le support des autres au mexique, commencent à publier leur propre journal, Amor y Rabia. Le journal basé aux États-Unis devint à ce point, mono-lingue, et le journal mexicain fut distribué aux lecteurs/trices espagnols aux États-Unis.
In 1993, the core New York, Minneapolis, San Francisco and Mexico City groups and others expressed the desire for a tighter federal structure, which caused some other groups to leave and new people to join. This is when the Love and Rage Network was renamed the Love and Rage Revolutionary Anarchist Federation. At this time Love and Rage members were very active in doing anti-Klan and anti-Nazi work and in building up Anti-Racist Action (ARA). Others were active in defending abortion clinics and doing prisoner solidarity activism.
Le soulèvement des [[zapatistes, en 1994, au Chiapas, a concentré l'attention de l'organisation sur le travail de solidarité avec les zapatistes. Des membres du Amor y Rabia ont rapidement établi contact avec les zapatistes et les membres du Love and Rage aux États-Unis ont été des premiers participants à établir des groupes de solidarité avec les zapatistes et à propager des traductions anglaises de leurs communiqués. À la convention de Love and Rage de 1994, la solidarité au mexique, l'abolition des prisons et l'anti-fascisme(incluant la lutte contre la brutalité policière, la lutte contre le Ku Klux Klan, et la lutte pour les droits des homosexuels/les et le droit à l'avortement) fûrent décidés comme les 3 principaux terrains de travail de l'organisation.
Les membres du Love and Rage ont aussi participés à plusieurs luttes contre les mesures néo-libérales américaines. Ceux-ci incluent la lutte contre la coupure de budgets et les coûts montant à la City University of New York, a Living Wage campaign in Vermont, et des connections avec les organisateurs pour les Droits de Bien-être à Minneapolis.
En 1996, des divisions majeures commençèrent à apparaitre dans l'organisation. Un ou deux des membres les plus actifs de l'organisation, quittaient les idées anarchistes. Une autre faction faite principalement des ex-membres du RSL, argumentait pour des politiques anarchistes focusés sur la classe ouvrière, en opposition à deux autres factions, qui désiraient focuser sur la question de race Another trend made up mainly of older former members of the RSL who argued for an anarchist politics focused on the working class, in opposition to two other factions, both which focused on race: one which wanted to make "white skin privilege" the central concern; the other of which focused more broadly on what some would call a Third World Marxist program which included an endorsement of nationalism by non-white racial groups, combiné avec un focus sur le genre et la sexualité. La division régionale de l'organisation, causé par les priorités différentes des gens locaux de la ville de New York et de Minneapolis ont également joué un rôle là -dedans. Le collectif de Minneapolis se concentrait d'abord sur la construction de relations avec les organisations locales, _building a large and regular Cop watch project,_jouant un rôle significatif dans les efforts locales autour du cas de Mumia Abu Jamal, de la brutalité policière, de la solidarité aux Zapatistes et aux droits à l'avortement. _As the fight over Marxism took off between ex-RSL, many in Minneapolis found the debate to be irrelevant to organizing work, and began to leave the organization._ La Love and Rage Revolutionary Anarchist Federation s'est officiellement dissoue en 1998. Les tendences marxistes basé dans les collectif à New York et dans San Francisco Bay Area ont formé le Fire by Night Organizing Committee, a non-anarchist cadre group avec des chapitres à New York et San Francisco. Deux autres des membres de New York (un desquels avait été maoiste avant de joindre Love and Rage) ont ensuite joint l'organisation marxiste Freedom Road Socialist Organization. _A second group - those who endorsed the idea of 'white privilege' and were grouped around Joel Olson_ - formèrent la Fédération Bring the Ruckus!, qui se décrivait comme entre le Parti léniniste et le réseau anarchiste. Un autre groupe, fait d'ex-membres du RSL commencèrent à publier The Utopian, et quelques uns entrèrent dans la NEFAC, fédération anarcho-communiste plateformiste. Plusieurs autres individus devinrent simplement actif dans formes anarchistes ou non de l'activisme.
Même si le membership formel de Love and Rage n’a jamais excèder 150 personnes en aucun temps (et que moins de 40 personnes se sont présentés/es à la conférence finale), il y a eu plusieurs fois où les gens sont passés par l’organisation et celle-ci avait un cercle de sympatisants/es et de lecteurs/trices de son journal encore plus grand. (L’impression du dernier numéro avait 9000 copies). Love and Rage avait une culture très vivante du débat interne qui, pour la plus grande partie de son existance, évita les querelles sectaires. _While they largely rejected its emphasis on building a disciplined revolutionary organization, Love and Rage influenced the political perspectives of a fraction of the young activists who would go on to play major roles in the anti-globalization movement, in particular their understanding of the distinct role of racism in the workings of U.S. society_.
Autres ressources
- REDIRECT Modèle:Wikipedia traduit