Libéralisme
|
|
Catégorie:Articles à retravailler Le libéralisme est une philosophie qui instaurera l'État moderne et qui portera la venue du capitalisme.
Contents
etymologie, histoire et usages
Le terme « libéral », au sens premier, signifie "généreux" ; cervantés utilisera ce sens parmi certains de ses ouvrages. Dans son sens politique, cela apparaitra, en 1810, en espagne, lorsque les cortes (parlement des différents États espagnols), s'investissant de la souveraineté nationale, se réunissent à cadix pour promulguer la premiére constitution espagnole[1], alors que la ville est assiégée par les troupes napoléoniennes. Dans les débats qui ont lieu, le terme désigne des personnes partisanes de la liberté d'expression (la liberté de la presse). La monarchie catholique ayant été anéantie par l'invasion napoléonnienne, les constitutions de Cadix permettront la naissance de l'État espagnol dans sons sens moderne et, entre autres, la légitimation de la propriété privée (dmp). Plus tard, le mouvement libéral européen[2], s'inspirant du libéralisme espagnol (et de ces constitutions), fomentera de nombreuses insurrections (1830, 1848, ...) tendant à instaurer une constitution libérale.
Le terme de libéral s'étendra, dans la langue, de diverses façons, selon la réalité des divers libéralismes locaux existant... le libéralisme se fragmentera en diverses tendances, plus ou moins contradictoires (libéralisme politique, libéralisme économique, libéralisme social)... à dével-op-per
philosophie
(exposant en intro les idées et divers auteurs et initiateurs du libéralisme)
L'aspect politique
La théorie
(constitution, état-nation, état de droit, parlementarisme, suffrage universel censitaire, etc)
les différents régimes
Il existe de nombreux régimes libéraux (monarchique, démocratique, dictatorial, aristocratique, techno-bureaucratique, etc), allant de la démocratie libérale à la dictature libérale. Néanmoins, ces divers régimes apparaissent selon les besoins des pouvoirs politiques ou économiques en place. La démocratie, lorsqu'il n'y a pas de risques (que les institutions sont cloisonnées ou avec les élections pour endormir le peuple), la dictature, lorsque la population tente concrétement de rejeter le libéralisme (politique ou économique).
Il y a donc des régimes dictatoriaux pour imposer de force, à la masse populaire (en lui otant tout moyen de résistance, ne lui laissant que la soumission), le libéralisme économique ou le libéralisme politique. Une fois la chose imposé, la démocratie libérale réapparait.
Dictature libérale
Les dictatures libérales sont caractérisés par l'implémentation politique du libéralisme économique, par l'appui sélectif à des groupes d'intérêts (dés que ceux-ci sont favorables ou plaisent aux aspirations et intérêts des politiques), domination politique d'un seul parti (ayant été démocratiquement élu, ou parvenu par la force) ou d'un unique gouvernant (sans qu'aucun autre parti ou personne ne puisse le concurrencer), ascension de l'idéologie du parti ou du chef charismatique, forte présence militaire et surveillance élevé de la population.
Ce régime dictatorial sur le plan des libertés individuelles ("sauf à protéger certains intérêts particuliers"[3]) et libéral sur le plan économique ("sauf à protéger quelques clientèles"), tend à justifier la suppression des libertés politiques (liberté de la presse, liberté d'association, syndicalisme...), de maniére directe (censure politique) ou indirecte (censure économique), du fait de troubles sociaux (provoqués par ce régime libéral), et ceci pour que ces opposants ne puissent se poser en force alternative, ces forces sont donc réprimées par la propagande médiatique, ou militairement, et ainsi le pouvoir préserve la stabilité de l'État/nation.
Ces régimes, ou les idéologies qui les défendent, sont designés de diverses façons... Le néo-libéralisme (ou appelé aussi ultra-libéralisme, voire parfois d'intégrisme libéral) est un mouvement qui tend à imposer le libéralisme économique et à rejeter la liberté politique (à part pour leur usage prosélyte), nuisible, selon eux, à la sauvegarde des principes du droit naturel de la propriété privée des moyens de production (le chili de pinochet avec les chicagos boys est un exemple). Il est également parfois énoncé le terme de fascisme libéral pour faire référence à la même réalité qui existera dans des régimes libéraux dictatoriaux. Une autre désignation est également parfois énoncé, le Libéralisme Autoritaire, mais c'est un pléonasme, puisque le libéralisme est en soit autoritaire. Il limite effectivement parfois l'autoritarisme absolutiste (même si la monarchie absolu ne leur a pas été étranger, sous les théories physiocratiques du despotisme légal), mais en rien l'autoritarisme relativiste ou légaliste.
De nombreux penseurs et idéologues du libéralisme ont théorisés et justifiés différents régimes. Divers auteurs et partisans du libéralisme économique soutiendront des régimes dictatoriaux tels que le régime de Vichy, la dictature de Salazar, la dictature Pinochet, ou celle de Franco, du nazisme, etc.
Il y aura notamment :
{{{contenu}}}
fascisme (1922 / 1925)
Le régime fasciste italien, durant les années 1922-1925, instaurera le libéralisme économique par l'intérmédiaire de son ministre De'Stefani, et ceci de manière autoritaire, en interdisant les gréves ouvrières et conjointement par l'action répressive des terroristes squadristes (aux ordres du gouvernement fasciste).
Mussolini, avant son avénement au gouvernement en 1922, se présentera notamment comme un libéral et un défenseur de l'État manchestérien. Il annoncera son programme politique et économique comme volonté de combattre l'économie de guerre et de la libéraliser ; propos qui attireront les faveurs des partisans du libéralisme économique.
Le nationalisme a été une grande part du libéralisme en Italie, le discours nationaliste des fascistes aménera des libéraux (notamment Pareto et Ludwig von Mises, ...) ou du libéral national Giovanni Gentile (théoricien du fascisme) à soutenir le régime (avec quelques réserves pour certains), prétendant que celui-ci était salvateur pour la civilisation europpeénne ou italienne.
dictature des militaires argentins
le coup d'État de 1976 par les militaires (dont Videla), aménera à une libéralisation de l'économie du pays, par le ministre José Martinez de Hoz (proche du secteur bancaire et financier des États-Unis ; et préconisé à la dictature par le Conseil des chefs d’entreprise d'argentine), visant à accroitre le commerce exterieur et les investissements étrangers ; les prix furent libres et les taxes douaniéres réduites au minimum, l'économie sera ouverte aux spéculateurs, aux entreprises multinationales. La conséquence, aprés 10 mois de cette politique, sera que les salaires baisseront de la moitié. Les syndicats (notamment "Luz y Fuerza") ou la résistance populaire à ces dictats économiques seront cassés par le terrorisme d'État. Suite à l'arrivée de la dictature, les travailleurs de la compagnie publique d'électricité SEGBA se mirent en autogestion, mais la dictature mit fin rapidement à l'expérience en licenciant tous les employés, les conventions collectives seront également supprimées. La banque mondiale exigea la privatisation de la SEGBA, et l'opposition à cela par l'action syndicale de "Luz y Fuerza" sera réprimé, par la dictature, par des assassinats ou meurtres de syndicalistes. Elle sera finalement privatisé suite à la demande de la banque mondiale.
régime Pinochet
Le Régime Pinochet réalisera le libéralisme économique par un pouvoir autoritaire, tout en suivant les conseils économiques des Chicago Boys et des néolibéraux. ...
Corée du sud
Le gouvernement du président Kim Young-sam, réprimera violemment des manifestations estudiantines (août 1996), puis il imposera, fin décembre 1996, de nouvelles législations sur le travail, imposant de ce fait le libéralisme économique, par la flexibilité des travailleurs, la facilité des licenciements, le remplacement légal des grévistes ; il y aura une dure répression anti-syndicale. ... + ...
Hong Kong
Le régime politique de hong-kong, durant les années 80's, est selon Tak-Wing Ngo, du libéralisme autoritaire, du fait qu'il n'y ait pas eus de suffrage universel, pas d'élections, et pas d'écoute des mouvements sociaux, mais cependant il y eut une libéralisation économique accrue. ...
Taïwan
De par la libéralisation économique à Taïwan, le mouvement ouvrier devint puissant. Les libéraux, et les grosses entreprises, hostiles à la démocratie, et peu contentes que le mouvement ouvrier de dévellopa, menacèrent de geler leurs investissements si cet état de fait persistait. ...
Démocratie libérale
L'aspect économique
Les variations de l'économisme
(libre-échangisme, protectionnisme, concurrence, monopole, laisser-fairisme, interventionnisme, privatisations, nationalisations, etc)
Le libéralisme économique prône le laisser-faire des entreprises en concurrence dans le marché. Par là -même, cette conception s'oppose à l'intervention de l'État dans l'économie(Interventionnisme). Cette conception laisse également entendre que les entreprises devraient être libre de pouvoir s'accaparer le "marché" de la santé, de l'éducation ou de quelqu'autres services publics (Privatisations).
La réalité
(servage/esclavage volontaire, repressions anti-ouvriére/syndicales, exploitation, etc...)
L'aspect moral/social
(, inégalitarisme, classisme, individualisme, nationalisme, racisme, déisme, hiérarchie, privilège, élitisme, intellectualisme, etc...)
Avec l'essor de la bourgeoisie propriétariste, les physiocrates défendront l'association du libéralisme économique avec un despostisme légal (monarchie absolue). Ils considérent qu'une autorité souveraine (prince, roi, monarque), défendant les lois naturelles et le droit de propriété, devait être « supérieure à tous les individus de la société ». Ils préconisent que l'État soit gouverné uniquement par des propriétaires fonciers, les seuls ayant un patrimoine à défendre (les « patriotes »).
Le malthusianisme (du moins, dans "Essai sur le principe de la population") marquera d'une profonde empreinte le libéralisme anglais, qui justifira, pour certains de ses partisans (la classe dominante), l'imposition du libéralisme économique, et le peu d'intérêt pour l'injustice sociale que leur économie provoquait. L'idée étant pour eux que le bonheur et le bien-être doivent être limités qu'à quelques bénéficiaires.
Le rejet de la démocratie (élections), et leur anti-égalitarisme viscéral, les aménera à considérer la nécessité d'un retour à des régimes élitiste (libéralisme aristocratique), dans lesquels le libéralisme économique serait respecté (et non mis à mal par ce qu'ils appellent la "masse"). Pour Pareto, le « caractére d'une société est avant tout le caractére de l'élite » où « Toute élite qui n'est pas prête à livrer bataille pour défendre ses positions est en pleine décadence ; il ne lui reste qu'à laisser sa place à une autre élite, ayant les qualités viriles qui lui manquent ». Cela l'aménera notamment à accueillir le fascisme comme le seul mouvement « qui puisse sauver l'Italie de maux infinis ».
Le Darwinisme social est une idée inspirée d'un des aspects de la théorie de l'évolution de Darwin(mais, ne provenant pas de Darwin). Selon cette idée, dans la société, les individus les plus forts atteinderaient les postes les plus haut placés. Les libéraux reprennant cette idée peuvent ainsi dire que les pauvres souffrent des inégalités qu'ils/elles vivent, que parce qu'ils/elles n'ont pas été assez "fort" pour la société(sélection naturelle, disent-ils pour récupérer Darwin). Cependant, l'idée ne prend aucunement compte des réalités des classes sociales et du processus discriminant de sélection sociale. L'idée sert plutôt à justifier la domination politicoéconomique de masses jugées "moins aptes" comme on peut le voir par exemple dans la haute-bourgeoisie, le colonialisme, le fascisme, le nazisme. Naturellement, ces "socio-darwinistes", croyant détenir Raison, ont beaucoup profités des classes sociales d'en bas en pensant réaliser "la survie du plus fort"(survival of the fittest). Ils critiquaient d'ailleurs beaucoup les mouvements activistes qui prônent l'entraide et la solidarité. Cesare Lombroso alla jusqu'à démontrer, dans un ouvrage nommé "Anarchistes", que la philantropie est une forme de névrose. Beaucoup de médecins et de psychiatres influencés dans leur pratique par les idées socio-darwinistes ont émi des diagnostic de "disposition névrotique sentimentale morbide accompagnée d'une sorte de déficit de vitalité" chez les pacifistes et autres philantropes..
Voir aussi
Liens internes
Bibliographie
- "Le libéralisme Totalitaire" de Jacques Langlois, aux éditions "L'Harmattan".
- "Carl Schmitt and Authoritarian Liberalism, Strong State, Free Economy", de Renato Cristi
- "El liberalismo autoritario de Jaime Guzman," Persona y Sociedad [Chile], vol 15, pp. 199-207; 2000, de Renato Cristi.
- "LE PLEIN EMPLOI OU LE CHAOS." par Jean-Gabriel Bliek et Alain Parguez (Economica, 2006)
- Lorenzo Meyer : Liberalismo autoritario. Las contradicciones del sistema polÃtico mexicano, México, Océano, 1995.
Notes et références
- ↑ pronunciamiento : Utiliser l'armée pour permettre l'énonciation, en place publique, d'une constitution libérale, à l'image de celle de la révolution française. Lire à ce sujet "Le libéralisme insurrectionnel espagnol (1814-1830)" d'Irène Castells Olivan
- ↑ À noter que le mouvement, libéral et national, ne faisait qu'un, à l'époque. La constitution de Cadix de 1812 considérera à l'article 3, la souveraineté nationale, dont ses représentants seront ceux qui ont fait la constitution. Il y eut des mouvements nationalistes libéraux essentiellement en belgique, en italie, en autriche et en allemagne... En france, cela était déjà instauré.
- ↑ « Si une formule devait définir le nouvel ordre qui se met en place, on parlerait de "libéralisme autoritaire". [...] - libéral sur le plan économique, sauf à protéger quelques clientèles; - autoritaire sur le plan des libertés individuelles, sauf à protéger certains intérêts particuliers. [...] le projet libéral s'inscrit d'abord dans un débat idéologique et prend pour référence le modèle américain [...] La réalité est bien différente, gérée par une corporation très influente de professionnels du droit tirant un profit maximum d'un marché qu'ils développent à l'envi. [...] Elle suscite un système policier peu contrôlé dans ses pratiques quotidiennes, souvent corrompu, concurrencé par des agences de protection privées, un appareil judiciaire profondément influencé par la situation sociale et financière des individus, un monde carcéral hypertrophié et violent. [...] La montée du libéralisme autoritaire et la gestion à court terme imposée par les échéances électorales occultent ces débats de fond, et certains tentent même de régler des comptes idéologiques datant de mai 1968 et des années qui ont suivi [...] C'est uniquement en développant la répression que la société libérale peut se maintenir, en jouant sur les peurs et insécurités qu'elle-même produit [...] L'idéologie sécuritaire permet à la société libérale-autoritaire de trouver une cohérence et une identité par l'enfermement et l'exclusion de populations-cibles. [...] l'exemple le plus topique de l'harmonie entre système libéral et système autoritaire a été celui du débat sur la privatisation des prisons. [...] En permettant à des investisseurs privés de dégager des profits sur la privation de liberté d'individus de plus en plus nombreux, le système libéral - autoritaire produirait son modèle idéal. » "Libéralisme autoritaire", de JEAN-PAUL JEAN, sur le "Monde diplomatique" (1987).
Citations
- « La doctrine des physiocrates est un mélange de libéralisme économique et de despotisme éclairé [...] la pensée des physiocrates s'ordonne autour de quatre grands thèmes : la nature, la liberté, la terre, le « despotisme légal » [...] L'État doit être gouverné par des propriétaires fonciers ; eux seuls ont une patrie ; patrie et patrimoine sont joints. [...] Les physiocrates sont donc hostiles à toute réglementation. Leur formule est « laissez faire, laissez passer » [...] Les physiocrates sont partisans de la monarchie absolue. » Histoire des idées politiques, Tome2, Du XVIII éme siécle à nos jours, Jean Touchard, PUF, 1958.
- « Le livre se présente à la fois comme une critique radicale de l’école qui domine la pensée économique contemporaine en Europe, une école qu’ils qualifient de libérale autoritaire [...]. Les libéraux autoritaires font une confiance aveugle au marché, qui contiendrait les solutions à tous les problèmes que pose la conduite d’une politique économique. [...] Les auteurs établissent une généalogie du libéralisme autoritaire, en faisant remonter ses origines à l’école marginaliste autrichienne et aux marxistes. Ils examinent comment ces idées se sont répandues en Europe au point de faire figure aujourd’hui de pensée unique. Ils distinguent Carl Menger (1840-1921), auteur d’une théorie de la monnaie (1892), Ludwig von Mises (1881-1973) et ses deux disciples, François Perroux(1903-1987) et Friedrich von Hayek(1899-1992), qui ont l’un et l’autre beaucoup influencé la pensée de Raymond Barre (1924-) » : FICHE DE LECTURE : LE PLEIN EMPLOI OU LE CHAOS. par Jean-Gabriel Bliek et Alain Parguez (Economica, 2006)
- « La démocratie libérale peut donner naissance à tout type de « gangs », de « maffias » antagonistes réglant leurs problémes dans le sang et non dans le débat courtois. À ce moment là , l'État, s'il ne veut pas succomber ou être pris en main par une de ces bandes, doit se donner les moyens de reprendre en main une situation qui le dépasse. Il va renforcer non seulement son appareil gouvernemental, mais son appareil policier et militaire. Progréssivement l'État libéral laissera la place à un État plus directement autoritaire»
- De la horde à l'État, essai de psychanalyse du lien social. De Eugéne Enriquez.
- « Dunoyer est probablement le premier exemple d’un libéral radical qui se tourna vers l’Etat autoritaire par crainte d’un bouleversement socialiste de la société. " source
- « Comme tous les intégrismes, l'intégrisme "libéral" pratique le prosélytisme. Détenteur de la seule vérité, il adopte une organisation de la société supposée la seule efficace et n'a de cesse de la transmettre et de l'imposer à tous. » Albert JACQUARD, dans "J'accuse l'économie triomphante".
- «Quelle conclusion tirer du mélange informe d'anti-cléricalisme franc-maçon et de religiosité militante, de libéralisme économique et d'anti-libéralisme politique, grâce auquel le fascisme tente de se distinguer à la fois du programme du parti populaire et du collectivisme communiste?» Bordigua : novembre 1921.
Liens externes
- Jean-Paul Jean : Le libéralisme autoritaire paru dans le "monde diplomatique" (10/1987)
- FICHE DE LECTURE : LE PLEIN EMPLOI OU LE CHAOS. par Jean-Gabriel Bliek et Alain Parguez (Economica, 2006)
- Liberalismo autoritario
- dictature argentine : entre libéralisme économique et autoritarisme
- Composition de classe en Corée du sud et tournant néolibéral
- Libéralisme économique et régime politique autoritaire de Keith Dixon.
- Les mensonges du libéralisme, par Sylvain Timsit
- Le libéralisme en son âge d’or dans Défense de l’homme n°1 (octobre 1948)