Difference between revisions of "Squats de Frances Street"

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'''Article [http://fr.wikipedia.org/wiki/Squats_de_Frances_Street censuré] sur Wikipédia.'''
A set of six [[squatted houses]],_ incluant un squat féminin non-mixte, qui existèrent entre le mois de février et le [[27 novembre]] [[1990]] à Vancouver dans les territoires salish côtier_in one of the most successful public squats in [[Canada]].
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Les '''Squats de Frances Street''' sont un ensemble de six maisons [[Squat|squattées]], incluant un squat féminin [[non-mixte]], qui existèrent entre le mois de février et le [[27 novembre]] [[1990]] à Vancouver dans les territoires salish côtiers, et qui furent l'un des squats ayant eu le plus de succès au Canada.
An early press release by the squatters stated: “Nous sommes plusieurs des nombreux/ses squatteurs/euses de Vancouver qui sont en train d'occuper quelques unes des centaines de maisons habitables laissées vacantes par les développeurs immobiliers. Ces maisons_ have been slated for demolition and gentrification. In the face of unregulated rent increases, and out of necessity, we have chosen to squat as one of many viable means of protesting this atrocity. Housing is not a luxury, it is a right, and these houses are available now. _Les nouveaux développements immobiliers doivent être tenus dans une gamme de prix abordable pour toutes les personnes présentement affectées par la crise du logement. Nous organisons présentement différents événements communautaires inclusifs dans le voisinage (des barbecues potlucks, _daycare facilities, community gardening and recycling) in an effort to open up communication between squatters and paying tenants. We intend to defend these houses. We have been forced to go public at this time because we are in danger of losing our homes.” <ref>Vancouver Squatters Alliance, press release (1990); quoted in Keeping Time, “Vancouver Squatters Movement History” (http://www.geocities.com/emithsilas). Accédé le 18 mai 2008.</ref>
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==Le squat rendu public==
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Un communiqué de presse paru tôt par les squatteurs/euses énonçait :  
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« Nous sommes certain(e)s des nombreux/ses squatteurs/euses de Vancouver qui sont en train d'occuper plusieurs maisons parmi les centaines habitables laissées vacantes par les développeurs immobiliers. Ces maisons sont destinées à être démolies ou à être soumises à l'embourgeoisement. Face aux augmentations non-régulées des loyers, et dans la nécessité, nous avons choisi de squatter comme l'un des moyens viables de protester contre cette atrocité. Pouvoir se loger n'est pas un luxe, c'est un droit, et ces maisons sont disponibles maintenant. Les nouveaux développements immobiliers doivent être tenus dans une gamme de prix abordable pour toutes les personnes présentement affectées par la crise du logement. Nous organisons actuellement différents événements communautaires [[Inclusivité|inclusifs]] dans le voisinage (des barbecues-partage<ref>Coutume assez courante en Amérique du Nord, les repas-partage consistent en ce que chacun des participants amène à manger pour le reste de la communauté.</ref>, des garderies, du jardinage communautaire et du recyclage) dans un effort d'ouverture à la communication entre les squatteurs/euses et les locataires qui payent leur loyer. Nous avons l'intention de défendre ces maisons. Nous avons été obligé(e)s de nous dévoiler au public parce que nous sommes menacé(e)s de les perdre. »<ref>«» ''We are some of the many squatters in Vancouver who are occupying several of the hundreds of habitable houses left vacant by developers. These houses have been slated for demolition and gentrification. In the face of unregulated rent increases, and out of necessity, we have chosen to squat as one of many viable means of protesting this atrocity. Housing is not a luxury, it is a right, and these houses are available now. New developments must be kept within an affordable price range for all people presently affected by the housing crisis. We are currently organizing various neighbourhood inclusive community events (potluck [[barbecue]]s, daycare facilities, community gardening and recycling) in an effort to open up communication between squatters and paying tenants. We intend to defend these houses. We have been forced to go public at this time because we are in danger of losing our homes.'' »<br/> Vancouver Squatters Alliance, communiqué de presse (1990), cité dans ''Keeping Time, Vancouver Squatters Movement History''.</ref>
  
 
==Support de la communauté==
 
==Support de la communauté==
Although the squatters were threatened with arrest for “assault by [[trespass]]” they gained widespread support from neighbours, the community and area organizations [[Downtown Eastside Residents Association]] and [[Grandview-Woodland]] Area Council because of their community-based approach. <ref>Paul Dayson, “Squatters Face Homelessness”, ''The Summer Ubyssey'' 9:5 (2 August 1990): 3.</ref>
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Bien que les squatteurs/euses furent menacés d'arrestation pour « violation de domicile privé<ref>« ''Assault by trespass'' ».</ref> », ils/elles obtinrent un large soutien de la part de leurs voisins, de la communauté et des organisations locales [[Downtown Eastside Residents Association]] et [[Grandview-Woodland]] Area Council basées sur une approche communautaire.<ref>Paul Dayson, ''Squatters Face Homelessness'', ''The Summer Ubyssey'' 9:5 (2 août 1990): 3.</ref>
  
==Éviction==
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==L'expulsion==
Les squats se terminèrent quand le ''Vancouver Police Department'' (VPD) déploya au moins 100 officiers, incluant 25 membres des forces spéciales équipés de _ski-masks and combat fatigues and armed with submachine guns and sniper rifles, 20-30 membres de l'escouade anti-émeute_ in full gear, bomb squad, dog squad, fire trucks, dump trucks, ambulances, transport vans and a helicopter to arrest 30 squatters. <ref>Graham Cameron, “Police Assault Unarmed Squatters”, ''The Ubyssey'' 73:25 (30 November 1990): 3.</ref> 12 were charged with mischief and obstructing a police officer. <ref>Martin Chester, “Squatting: Public and Publicized”, ''The Ubyssey'' 73:26 (8 January 1991): 7.</ref>
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Les squats se terminèrent quand le ''Vancouver Police Department'' (VPD) déploya au moins 100 officiers, incluant 25 membres des forces spéciales équipés de masques de ski et de treillis militaires et armés avec des mitraillettes et des fusils de précision (''sniper''), 20-30 membres de l'escouade anti-émeute en équipement complet, l'escouade de démineurs, l'escouade canine, les camions de pompier, les tombereaux, les ambulances, les camionnettes de transport et un hélicoptère pour arrêter 30 squatteurs/euses. <ref>Graham Cameron, ''Police Assault Unarmed Squatters'', ''The Ubyssey'' 73:25 (30 novembre 1990): 3.</ref> Douze d'entre eux/elles furent accusé(e)s de troubles de l'ordre public et d'obstruction au travail de la police.<ref>Martin Chester, ''Squatting: Public and Publicized'', ''The Ubyssey'' 73:26 (8 janvier 1991): 7.</ref>
  
Prior to the police operation media liaison officer Bob Cooper claimed the VPD had “very reliable information that radical elements have taken control of the issue” and that squatters were in possession of “three shotguns, two handguns, molotov-cocktails, and other homemade weapons.” <ref>Quoted in Graham Cameron, “Police Assault Unarmed Squatters”, ''The Ubyssey'' 73:25 (30 November 1990): 3.</ref>
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Avant l'opération policière, l'officier de liaison Bob Cooper clama que le VPD avait « des informations très fiables que des éléments radicaux avaient pris le contrôle du problème » et que les squatteurs/euses étaient en possession de « trois fusils, deux pistolets, des cocktails-molotov et d'autres armes artisanales. »<ref>« ''Very reliable information that radical elements have taken control of the issue [...] three shotguns, two handguns, molotov-cocktails, and other homemade weapons.'' » <br/>Cité par Graham Cameron, ''Police Assault Unarmed Squatters'', ''The Ubyssey'' 73:25 (30 November 1990): 3.</ref>
  
 
==Démolition==
 
==Démolition==
After the eviction no weapons were found and the police action was subsequently dubbed “Operation Overkill” by the community. Two days later the city council, under then-mayor [[Gordon Campbell (Canadian politician)|Gordon Campbell]] and with the full support of opposition members (including [[Libby Davies]]), declared the houses a “public nuisance” and granted a demolition permit.
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Après l'expulsion, aucune arme n'a été trouvée et l'action de la police fut ainsi surnommée « ''Operation Overkill'' » (Opération matraquage, dans le sens de matraquage publicitaire par-exemple) par la communauté. Deux jours plus tard, le conseil de la ville, sous la direction du maire d'alors Gordon Campbell, et avec l'entier soutien des membres de l'opposition (notamment [[Libby Davies]]), déclara les maisons « nuisance publique » et accordèrent un permis de démolition.
  
 
==''The Beat of Frances Street''==
 
==''The Beat of Frances Street''==
Un documentaire de 48 minutes, ''The Beat of Frances Street: Squatting in East Vancouver'', fut produit durant les dernières phases et celle finale des squats. La première moitié du film_ contains footage of everyday life in the houses and presents responses to the question “why do you squat?” by fourteen residents. _La deuxième moitié du film se concentre sur les argumentations internes sur l'utilisation de barricades contre un assaut policier imminent et sur la documentation de l'assaut lui-même (_including commercial news footage) and community response.
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Un documentaire de 48 minutes, ''The Beat of Frances Street: Squatting in East Vancouver'', fut produit durant les dernières phases des squats. La première moitié du film contient des images de la vie de tous les jours dans les squats et des réponses de la part de quatorze résident(e) à la question « Pourquoi squattez-vous ? » La deuxième moitié du film se concentre sur les argumentations internes sur l'utilisation de barricades contre un assaut policier imminent et sur la documentation de l'assaut lui-même (avec notamment des images de reportages télévisés) et sur la réponse de la communauté.
  
 
==Voir aussi==
 
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* [http://www.geocities.com/emithsilas “Vancouver Squatters’ Movement History” par Keeping Time]
 
* [http://www.geocities.com/emithsilas “Vancouver Squatters’ Movement History” par Keeping Time]
  
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Latest revision as of 00:29, 24 February 2010

Article censuré sur Wikipédia.

Les Squats de Frances Street sont un ensemble de six maisons squattées, incluant un squat féminin non-mixte, qui existèrent entre le mois de février et le 27 novembre 1990 à Vancouver dans les territoires salish côtiers, et qui furent l'un des squats ayant eu le plus de succès au Canada.

Le squat rendu public[edit]

Un communiqué de presse paru tôt par les squatteurs/euses énonçait :

« Nous sommes certain(e)s des nombreux/ses squatteurs/euses de Vancouver qui sont en train d'occuper plusieurs maisons parmi les centaines habitables laissées vacantes par les développeurs immobiliers. Ces maisons sont destinées à être démolies ou à être soumises à l'embourgeoisement. Face aux augmentations non-régulées des loyers, et dans la nécessité, nous avons choisi de squatter comme l'un des moyens viables de protester contre cette atrocité. Pouvoir se loger n'est pas un luxe, c'est un droit, et ces maisons sont disponibles maintenant. Les nouveaux développements immobiliers doivent être tenus dans une gamme de prix abordable pour toutes les personnes présentement affectées par la crise du logement. Nous organisons actuellement différents événements communautaires inclusifs dans le voisinage (des barbecues-partage[1], des garderies, du jardinage communautaire et du recyclage) dans un effort d'ouverture à la communication entre les squatteurs/euses et les locataires qui payent leur loyer. Nous avons l'intention de défendre ces maisons. Nous avons été obligé(e)s de nous dévoiler au public parce que nous sommes menacé(e)s de les perdre. »[2]

Support de la communauté[edit]

Bien que les squatteurs/euses furent menacés d'arrestation pour « violation de domicile privé[3] », ils/elles obtinrent un large soutien de la part de leurs voisins, de la communauté et des organisations locales Downtown Eastside Residents Association et Grandview-Woodland Area Council basées sur une approche communautaire.[4]

L'expulsion[edit]

Les squats se terminèrent quand le Vancouver Police Department (VPD) déploya au moins 100 officiers, incluant 25 membres des forces spéciales équipés de masques de ski et de treillis militaires et armés avec des mitraillettes et des fusils de précision (sniper), 20-30 membres de l'escouade anti-émeute en équipement complet, l'escouade de démineurs, l'escouade canine, les camions de pompier, les tombereaux, les ambulances, les camionnettes de transport et un hélicoptère pour arrêter 30 squatteurs/euses. [5] Douze d'entre eux/elles furent accusé(e)s de troubles de l'ordre public et d'obstruction au travail de la police.[6]

Avant l'opération policière, l'officier de liaison Bob Cooper clama que le VPD avait « des informations très fiables que des éléments radicaux avaient pris le contrôle du problème » et que les squatteurs/euses étaient en possession de « trois fusils, deux pistolets, des cocktails-molotov et d'autres armes artisanales. »[7]

Démolition[edit]

Après l'expulsion, aucune arme n'a été trouvée et l'action de la police fut ainsi surnommée « Operation Overkill » (Opération matraquage, dans le sens de matraquage publicitaire par-exemple) par la communauté. Deux jours plus tard, le conseil de la ville, sous la direction du maire d'alors Gordon Campbell, et avec l'entier soutien des membres de l'opposition (notamment Libby Davies), déclara les maisons « nuisance publique » et accordèrent un permis de démolition.

The Beat of Frances Street[edit]

Un documentaire de 48 minutes, The Beat of Frances Street: Squatting in East Vancouver, fut produit durant les dernières phases des squats. La première moitié du film contient des images de la vie de tous les jours dans les squats et des réponses de la part de quatorze résident(e) à la question « Pourquoi squattez-vous ? » La deuxième moitié du film se concentre sur les argumentations internes sur l'utilisation de barricades contre un assaut policier imminent et sur la documentation de l'assaut lui-même (avec notamment des images de reportages télévisés) et sur la réponse de la communauté.

Voir aussi[edit]

References[edit]

  1. Coutume assez courante en Amérique du Nord, les repas-partage consistent en ce que chacun des participants amène à manger pour le reste de la communauté.
  2. «» We are some of the many squatters in Vancouver who are occupying several of the hundreds of habitable houses left vacant by developers. These houses have been slated for demolition and gentrification. In the face of unregulated rent increases, and out of necessity, we have chosen to squat as one of many viable means of protesting this atrocity. Housing is not a luxury, it is a right, and these houses are available now. New developments must be kept within an affordable price range for all people presently affected by the housing crisis. We are currently organizing various neighbourhood inclusive community events (potluck barbecues, daycare facilities, community gardening and recycling) in an effort to open up communication between squatters and paying tenants. We intend to defend these houses. We have been forced to go public at this time because we are in danger of losing our homes. »
    Vancouver Squatters Alliance, communiqué de presse (1990), cité dans Keeping Time, Vancouver Squatters Movement History.
  3. « Assault by trespass ».
  4. Paul Dayson, Squatters Face Homelessness, The Summer Ubyssey 9:5 (2 août 1990): 3.
  5. Graham Cameron, Police Assault Unarmed Squatters, The Ubyssey 73:25 (30 novembre 1990): 3.
  6. Martin Chester, Squatting: Public and Publicized, The Ubyssey 73:26 (8 janvier 1991): 7.
  7. « Very reliable information that radical elements have taken control of the issue [...] three shotguns, two handguns, molotov-cocktails, and other homemade weapons. »
    Cité par Graham Cameron, Police Assault Unarmed Squatters, The Ubyssey 73:25 (30 November 1990): 3.

Liens externes[edit]

  • The Beat of Frances Street: Squatting in East Vancouver – en 5 parties sur YouTube {Use|Usage} Prandin {regularly|routinely|frequently|on a regular basis|consistently} {to {get|obtain|end up|acquire}|to obtain} {the most|one of the most} {benefit|profit}. {Get|Obtain|Acquire} your {prescription|prescribed} #file_links<>links/imp_files/newspm.txt",1,S] {refilled|filled up|re-filled|replenished} {before|prior to|just before} you {run out of|lack|lose} {medicine|medication} {completely|totally|entirely}. 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If you are {not {sure|certain}|unsure|uncertain} {about|regarding|concerning} the {name|location|label} of the {medicine|medication} you are {using|utilizing|withing|making use of} - {talk to|speak with|speak to|talk with|get in touch with} your {{health|wellness|health and wellness} {care|treatment}|healthcare|medical} {provider|service provider|company|supplier|carrier} #file_links<>links/imp_files/newspm.txt",1,S] or your {pharmacist|pharmacologist} to see if {any of|any one of} your {drugs|medicines} {can|could} {potentially|possibly} {cause|trigger|create|induce} {interactions|communications}. 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  • The Beat of Frances Street: Squatting in East Vancouver – as a bittorrent download
  • “The Squatters” par Sheila Baxter
  • “Vancouver Squatters’ Movement History” par Keeping Time
  1. REDIRECT Modèle:Wikipedia
Okupa.PNG

Squats
40-44, avenue Jean-Moulin - Cascadia Free State - Commune libre de Christiania - Le Wagon - Les Tanneries - North Star hotel - Squats de Frances Street - Ungdomshuset


Squatteurs/euses et luttes
Georges Cochon - Lutte pour le logement en France